Rien ne va plus à la Plaine-des-Palmistes. Le budget primitif ainsi que le compte administratif de la commune n'ont pas été validés hier lors du conseil municipal nous apprend ce mardi la presse écrite locale. Son maire, Marco Boyer, plus que jamais isolé au sein de son propre camp, devra passer la main à la Chambre régionale des comptes.
Interrogé par le Journal de l'île, Marco Boyer prend "acte" de cet énième camouflet mais ne s'avoue pas pour autant "vaincu" et voit dans ces rejets l'expression "d'une politique de bas étage, de caniveau".
Comme rappelé par la presse écrite, les comptes administratifs de la commune, rejetés par 17 voix contre, 8 pour et 3 abstentions, devront être transmis dans un délai de cinq jours au préfet, qui chargera la Chambre régionale des comptes de les certifier. Selon Le Quotidien, ce rejet est dû en partie au fait que le groupe de Daniel Parny, premier adjoint de Marco Boyer, n'a pas eu de droit de regard sur ce compte administratif, d'où la scission au sein de la majorité.
Concernant le budget primitif, le premier édile palmi-plainois, qui ne compte pas démissionner pour le moment, a convoqué les élus pour une nouvelle séance avant le 15 avril. Mais pas sûr que ces derniers vont se bousculer au portillon. En effet, avec le rejet du compte administratif, les opposants de Marco Boyer estiment que ce vote n'a pas lieu d'être, conclut Le Quotidien.
Interrogé par le Journal de l'île, Marco Boyer prend "acte" de cet énième camouflet mais ne s'avoue pas pour autant "vaincu" et voit dans ces rejets l'expression "d'une politique de bas étage, de caniveau".
Comme rappelé par la presse écrite, les comptes administratifs de la commune, rejetés par 17 voix contre, 8 pour et 3 abstentions, devront être transmis dans un délai de cinq jours au préfet, qui chargera la Chambre régionale des comptes de les certifier. Selon Le Quotidien, ce rejet est dû en partie au fait que le groupe de Daniel Parny, premier adjoint de Marco Boyer, n'a pas eu de droit de regard sur ce compte administratif, d'où la scission au sein de la majorité.
Concernant le budget primitif, le premier édile palmi-plainois, qui ne compte pas démissionner pour le moment, a convoqué les élus pour une nouvelle séance avant le 15 avril. Mais pas sûr que ces derniers vont se bousculer au portillon. En effet, avec le rejet du compte administratif, les opposants de Marco Boyer estiment que ce vote n'a pas lieu d'être, conclut Le Quotidien.