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Placée en garde à vue, elle inscrit sa « liberté » sur les murs de sa cellule avec ses excréments

Outre les poursuites pour entrave, Patricia, connue sur les réseaux sociaux pour ses positions contre le passe sanitaire a hier été jugée pour des faits de rébellion.

Ecrit par PB – le samedi 18 septembre 2021 à 10H08

Le 3 septembre dernier, une trentaine de personnes s’étaient regroupées au niveau de l’ancien café de la Gare sur le front de mer de Saint-Pierre pour un pique-nique marron. En rejoignant la mobilisation, Patricia tombe sur un policier en civil qui tente de procéder à un  contrôle d’identité. Avant de lui donner ses papiers, Patricia entend s’assurer qu’il est bien policier et lui demande en contrepartie, le référentiel des identités et de l’organisation (RIO), le numéro d’identification qui doit être porté par les policiers. 

Le contrôle se termine finalement par une interpellation peu conventionnelle, la mise en cause ayant été attrapée par les bras, les jambes et l’entrejambe. 

L’affaire franchit une nouvelle étape dans l’improbable quand, placée en garde à vue, Patricia va dégrader sa cellule en inscrivant « liberté » sur les murs à l’aide de ses excréments. Des faits « suffisamment ridicules » que le parquet n’a finalement pas poursuivis. 
 
Patricia, reconnue coupable de rébellion, devra régler la somme de 300 euros et indemniser le policier blessé au moment de l’interpellation.

 

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