Depuis près de trois mois, les signalements affluent sur tout le territoire. Des clients assurent avoir été piqués à leur insu durant une soirée en discothèque, sans pouvoir en identifier l’auteur.
Les victimes sont recensées sur l’ensemble du territoire, et certains décrivent une sensation de malaise, de vertige et de nausées, des bouffées de chaleur ou encore une perte de connaissance accompagnant la piqûre ou survenant de façon différée.
Sur l’ensemble du territoire, on recense plus de 350 plaintes, principalement de femmes. Aucune des pistes n’a pour l’heure mené à une arrestation ni permis de confirmer la présence de substances toxiques directement liée à ces injections mystères, excepté deux cas survenus à Roanne et dans les Pyrénées orientales où du GHB avait été détecté.