REUNIONNAIS RESIDANT SUR L’ILE DE LA REUNION OU EN METROPOLE, prenez connaissance de l’inaction DES INSTITUTS ETATIQUES en cette période cyclonique malgré les préjudices subis lors du cyclone BEJISA du 04 01 2014 malgré les alertes antérieures, constat d’huissier, rapports d’expertise et frais d’élagage à notre charge.
Lors du passage du cyclone BEJISA des arbres de tamarin de l’Inde se sont abattus sur notre habitation principale Ces arbres se trouvaient sur une parcelle AC2 jouxtant notre propriété AC9 et appartenant au Département tel qu’il apparait au cadastre.
Cette parcelle n’a pas été entretenue depuis des années. Les rats, les termites et autres nuisibles s’y sont installés. Notre mobilier a été touché. D’autres arbres sont contaminés, pourris et menacent de tomber.
Au motif qu’une partie de cette parcelle appartiendrait également à la Région et à l’Etat, aucune suite n’a été donnée à ce jour à nos multiples réclamations, le Département arguant l’établissement d’un bornage.
Au regard de cette inefficacité nous avons intenté une action en référé, procédure d’urgence, en principe.
Cette procédure d’urgence permettant d’obtenir une décision du juge, qui bien qu’étant provisoire, doit assurer une sécurité au citoyen en attendant un état définitif.
Quelle utopie! Dès que l’on s’oppose au Département, à la Région, à l’Etat Français.
En effet, j’ai été débouté du jugement en référé au motif d’une contestation de bornage qui s’élève sur la parcelle AC2 entre le département, l’état et la région.
Bien que le département a élagué à 1/3 à peine un arbre de tamarin de l’inde (arbre corrosif par son acidité salin) et un nettoyage succinct le long de notre mur séparative laissant encore des déchets et des bois, ou troncs termites. MAIS le risque majeur demeure toujours car les arbres TAMARIN D’INDE pourris considérés scientifiquement comme peste végétal n’ont pas été abattus.
Il en résulte que si une contestation s’élève sur la propriété d’une parcelle, cette contestation relève du juge du fonds. C’est donc remis aux calendes grecques. (Quid du référé)
Il est dont fait fi des risques pour la sécurité des personnes, la salubrité ou l’hygiène publique. Le code général des collectivités territoriales prévoit pourtant cette situation.
En espérant qu’aucune catastrophe ne vienne s’ajouter aux dégâts déjà subis auxquels s’ajoutent les préjudices … qui s’amplifient, nous continuerons malgré nous à supporter ces carences… et payer les impôts locaux.
Un courrier a été transmis au PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE en ce sens.
S. J.