Le SNJ-CGT de Réunion la 1ère a publié un tract le 10 février dernier (voir ci-dessous) dans lequel ils s'en prend vertement au nouveau rédacteur en chef, Eric Rayapin, qui n'avait pris ses fonctions que quelques jours plus tôt, le 16 janvier, en remplacement d'Elyas Akhoun, nommé délégué du Numérique par intérim.
Nous passerons sur les reproches concernant la façon dont la rédaction, sous l'impulsion du nouveau rédacteur en chef, a traité le nouvel An chinois. Vous trouverez tous les renseignements dans le tract.
Je préfèrerai m'appesantir sur la façon dont Eric Rayapin, selon la CGT, "manage" ses équipes. "Je n'ai pas besoin de votre avis", aurait-il dit en conférence de rédaction télé, ce qui a incité la CGT à intituler son tract "Sa ka pa maché", ce qui signifie en guadeloupéen (d'où vient Eric Rayapin) "Ça ne va pas le faire".
Mais la CGT a gardé le meilleur pour la fin. Elle accuse à demi-mot le rédacteur en chef d'avoir tenu "des propos déplacés et inappropriés" jugés "inqualifiables". Le syndicat n'en dit pas plus mais d'après nos informations, il serait reproché à Eric Rayapin d'avoir tenu des propos équivoques auprès de certains membres de la gente féminine de la station.
Quoi qu'il en soit, il y a encore du travail avant de mettre Réunion la 1ère sur les rails. Par exemple ce matin, à l'occasion d'une conférence de presse tout à fait banale, les journalistes de la radio-télévision publique sont arrivés à trois : un journaliste télé et son caméraman et un autre journaliste pour la radio. Pendant ce temps-là, Antenne n'envoie qu'un seul journaliste qui tient sa caméra d'une main et tend son micro de l'autre. Et à l'époque où elle avait encore une radio, la rédaction récupérait le son de la vidéo pour le journal radio.
Pourquoi je relève ce point ? Parce que Réunion la 1ère est financée par de l'argent public et que ses employés touchent une prime supérieure à celle de 53% touchée par l'ensemble des fonctionnaires de l'ile. Mettre trois journalistes là où un seul suffirait, en plus payés par les impôts de l'ensemble des contribuables, la CGT a raison : "Sa ka pa maché" !
Nous passerons sur les reproches concernant la façon dont la rédaction, sous l'impulsion du nouveau rédacteur en chef, a traité le nouvel An chinois. Vous trouverez tous les renseignements dans le tract.
Je préfèrerai m'appesantir sur la façon dont Eric Rayapin, selon la CGT, "manage" ses équipes. "Je n'ai pas besoin de votre avis", aurait-il dit en conférence de rédaction télé, ce qui a incité la CGT à intituler son tract "Sa ka pa maché", ce qui signifie en guadeloupéen (d'où vient Eric Rayapin) "Ça ne va pas le faire".
Mais la CGT a gardé le meilleur pour la fin. Elle accuse à demi-mot le rédacteur en chef d'avoir tenu "des propos déplacés et inappropriés" jugés "inqualifiables". Le syndicat n'en dit pas plus mais d'après nos informations, il serait reproché à Eric Rayapin d'avoir tenu des propos équivoques auprès de certains membres de la gente féminine de la station.
Quoi qu'il en soit, il y a encore du travail avant de mettre Réunion la 1ère sur les rails. Par exemple ce matin, à l'occasion d'une conférence de presse tout à fait banale, les journalistes de la radio-télévision publique sont arrivés à trois : un journaliste télé et son caméraman et un autre journaliste pour la radio. Pendant ce temps-là, Antenne n'envoie qu'un seul journaliste qui tient sa caméra d'une main et tend son micro de l'autre. Et à l'époque où elle avait encore une radio, la rédaction récupérait le son de la vidéo pour le journal radio.
Pourquoi je relève ce point ? Parce que Réunion la 1ère est financée par de l'argent public et que ses employés touchent une prime supérieure à celle de 53% touchée par l'ensemble des fonctionnaires de l'ile. Mettre trois journalistes là où un seul suffirait, en plus payés par les impôts de l'ensemble des contribuables, la CGT a raison : "Sa ka pa maché" !