Le 18 août dernier, je dénonçais les attaques sournoises, bien évidemment anonymes - du moins le croyaient-ils - de ce que j'appelais "les nervis du net" de Gilbert Annette.
Ces petites mains du maire avaient publié sur les réseaux sociaux quelques attaques me concernant, se situant à la limite de la diffamation.
Ma conception de la démocratie est très magnanime. La preuve : j'autorise la publication de commentaires sur Zinfos m'attaquant de façon virulente, pratiquement sous chaque article, quoi que j'écrive, quel que soit le sujet, et toujours sous le même angle.
Je connais, ou tout au moins devine qui se trouve derrière ces attaques mais je m'en fiche royalement. La preuve : j'ai donné comme consigne de les publier. Je pense que ça leur porte plus préjudice qu'à moi...
J'avais quand même tenu à dénoncer l'opération car il aurait pu se trouver quelques esprits naïfs pour gober leurs délires.
Dans cet article, je disais également que je savais parfaitement qui se cachait derrière ces attaques et que je les dénoncerais, le moment venu. Il se trouve que ce moment est arrivé.
Ces petites mains du maire avaient publié sur les réseaux sociaux quelques attaques me concernant, se situant à la limite de la diffamation.
Ma conception de la démocratie est très magnanime. La preuve : j'autorise la publication de commentaires sur Zinfos m'attaquant de façon virulente, pratiquement sous chaque article, quoi que j'écrive, quel que soit le sujet, et toujours sous le même angle.
Je connais, ou tout au moins devine qui se trouve derrière ces attaques mais je m'en fiche royalement. La preuve : j'ai donné comme consigne de les publier. Je pense que ça leur porte plus préjudice qu'à moi...
J'avais quand même tenu à dénoncer l'opération car il aurait pu se trouver quelques esprits naïfs pour gober leurs délires.
Dans cet article, je disais également que je savais parfaitement qui se cachait derrière ces attaques et que je les dénoncerais, le moment venu. Il se trouve que ce moment est arrivé.
Une manipulation "gros doigt"
L'occasion m'en est donnée aujourd'hui au travers d'une manipulation que cette équipe de Ribouldingues a tenté de monter, avec la complicité de Freedom et en particulier d'Yves Montrouge.
Dans son édito de ce matin, Yves Montrouge a réalisé une grande première journalistique : il ouvre sa prose avec ce qui semble être un scoop, une lettre qu'aurait écrite le chef de Cabinet d'Emmanuel Macron à Didier Robert, président de Région, lui confirmant qu'il suivait d'un oeil particulier la situation du JIR : "Pour le coup de main au JIR, les choses avancent, dans la plus grande discrétion comme convenu", y est-il écrit.
L'occasion m'en est donnée aujourd'hui au travers d'une manipulation que cette équipe de Ribouldingues a tenté de monter, avec la complicité de Freedom et en particulier d'Yves Montrouge.
Dans son édito de ce matin, Yves Montrouge a réalisé une grande première journalistique : il ouvre sa prose avec ce qui semble être un scoop, une lettre qu'aurait écrite le chef de Cabinet d'Emmanuel Macron à Didier Robert, président de Région, lui confirmant qu'il suivait d'un oeil particulier la situation du JIR : "Pour le coup de main au JIR, les choses avancent, dans la plus grande discrétion comme convenu", y est-il écrit.
"La jolie ministre"
Une façon maladroite de tenter d'accréditer, une fois de plus, que le président de la Région serait intervenu au plus haut niveau en faveur du JIR. Alors que les mêmes oublient de dire que si la Région a donné une subvention de 2 millions au JIR, c'est parce que le président de la République de l'époque, à savoir François Hollande, etait personnellement intervenu dans ce dossier et que pour que l'Etat puisse aider le JIR, il fallait que la Région verse ces 2 millions.
Or, il me semble me souvenir que François Hollande était (est?) socialiste et que son principal soutien à La Réunion était Gilbert Annette et Ericka Bareigts.
D'ailleurs, rappelez-vous, c'était l'époque où Jacques Tillier répétait à longueurs de colonne tout le bien qu'il pensait de "la jolie ministre" Ericka Bareigts. Ceux qui y verraient une relation de cause à effet ne peuvent qu'avoir l'esprit particulièrement tordu...
Une façon maladroite de tenter d'accréditer, une fois de plus, que le président de la Région serait intervenu au plus haut niveau en faveur du JIR. Alors que les mêmes oublient de dire que si la Région a donné une subvention de 2 millions au JIR, c'est parce que le président de la République de l'époque, à savoir François Hollande, etait personnellement intervenu dans ce dossier et que pour que l'Etat puisse aider le JIR, il fallait que la Région verse ces 2 millions.
Or, il me semble me souvenir que François Hollande était (est?) socialiste et que son principal soutien à La Réunion était Gilbert Annette et Ericka Bareigts.
D'ailleurs, rappelez-vous, c'était l'époque où Jacques Tillier répétait à longueurs de colonne tout le bien qu'il pensait de "la jolie ministre" Ericka Bareigts. Ceux qui y verraient une relation de cause à effet ne peuvent qu'avoir l'esprit particulièrement tordu...

Copie de l'extrait de l'édito d'Yves Montrouge où il affirme que ce courrier lui est parvenu de façon anonyme
Un édito consacré à un faux : sacrée performance !
Le problème, c'est qu'Yves Montrouge reconnait lui-même que cette lettre est un faux ! D'ailleurs, il titre son édito "Attention aux faux courriers de l'Elysée"...
Quel beau scoop que voilà ! Ouvrir son édito sur un faux ! Sacré performance !
Reste à savoir comment ce faux est arrivé entre les mains d'Yves Montrouge, et surtout qui l'a fabriqué. Car il s'agit ni plus ni moins que d'un faux en écriture, aggravé par le fait qu'il s'agit du chef de Cabinet du président de la République !
Quant à savoir pourquoi le rédacteur en chef de Freedom a quand même décidé d'en faire sa Une, je vous laisse juges...
Selon Yves Montrouge, ce document lui serait parvenu de façon anonyme.
Le problème, c'est qu'Yves Montrouge reconnait lui-même que cette lettre est un faux ! D'ailleurs, il titre son édito "Attention aux faux courriers de l'Elysée"...
Quel beau scoop que voilà ! Ouvrir son édito sur un faux ! Sacré performance !
Reste à savoir comment ce faux est arrivé entre les mains d'Yves Montrouge, et surtout qui l'a fabriqué. Car il s'agit ni plus ni moins que d'un faux en écriture, aggravé par le fait qu'il s'agit du chef de Cabinet du président de la République !
Quant à savoir pourquoi le rédacteur en chef de Freedom a quand même décidé d'en faire sa Une, je vous laisse juges...
Selon Yves Montrouge, ce document lui serait parvenu de façon anonyme.
Des nervis du net emmenés par le propre fils de Gilbert Annette
Faux ! Et nous allons le prouver.
Il s'agit en fait d'un coup monté par Yves Montrouge avec ces fameux "nervis du net" de la mairie de Saint-Denis, emmenés par Christophe Annette, le propre fils du maire, accessoirement directeur de la communication à la CINOR, en compagnie de ses deux complices Wilfrid Mazeau, un employé communal qui fait partie du premier cercle d'Ericka Bareigts, et d'un dénommé Yusuf Ali Peerbaye.
J'aurai l'occasion très prochainement de revenir sur chacun de ces énergumènes. Et de quelques autres qui les aident à l'occasion, durant leur temps de travail comme employés de mairie.
Comment nous le savons? Parce que ces abrutis, il n'y a pas d'autre mot, se vantaient de leur forfait sur Facebook, deux jours avant la publication du document par Yves Montrouge. Avouez qu'on peut difficilement faire plus bêtes !
Nous vous livrons ci-dessous quelques uns des messages qu'ils se sont échangé avec, en apothéose à la fin, celui où ils confirment que ce qui les faisait jouir par avance n'était effectivement rien d'autre que le pétard mouillé d'Yves Montrouge.
S'ils n'ont que ça pour se faire jouir, je les plains...
Faux ! Et nous allons le prouver.
Il s'agit en fait d'un coup monté par Yves Montrouge avec ces fameux "nervis du net" de la mairie de Saint-Denis, emmenés par Christophe Annette, le propre fils du maire, accessoirement directeur de la communication à la CINOR, en compagnie de ses deux complices Wilfrid Mazeau, un employé communal qui fait partie du premier cercle d'Ericka Bareigts, et d'un dénommé Yusuf Ali Peerbaye.
J'aurai l'occasion très prochainement de revenir sur chacun de ces énergumènes. Et de quelques autres qui les aident à l'occasion, durant leur temps de travail comme employés de mairie.
Comment nous le savons? Parce que ces abrutis, il n'y a pas d'autre mot, se vantaient de leur forfait sur Facebook, deux jours avant la publication du document par Yves Montrouge. Avouez qu'on peut difficilement faire plus bêtes !
Nous vous livrons ci-dessous quelques uns des messages qu'ils se sont échangé avec, en apothéose à la fin, celui où ils confirment que ce qui les faisait jouir par avance n'était effectivement rien d'autre que le pétard mouillé d'Yves Montrouge.
S'ils n'ont que ça pour se faire jouir, je les plains...