La presse locale connait d'énormes difficultés.
Après le JIR qui n'a pu être sauvé de la faillite qu'au prix d'un abandon de créance par la Sécurité sociale et par différents autres créanciers de 80% de leurs créances et une aide de la Région de 2 millions d'euros, c'est au tour du Quotidien d'afficher des résultats catastrophiques.
Le journal du Chaudron a perdu très exactement 2,387 millions l'an dernier, après une perte à peu près équivalente l'année précédente.
Le tout pour un chiffre d'affaires d'un peu plus de 14 millions.
Une situation intenable sur le long terme.
D'après nos informations, les dirigeants du Quotidien ont demandé une aide de 2,4 millions à la Région. Mais comme cette aide n'est possible que dans l'hypothèse de l'ouverture d'une procédure collective, la rumeur court avec insistance du déclenchement d'une procédure de conciliation, comme l'a évoqué Jacques Tillier dans son éditorial de samedi dernier.
Il s’agit d’une des trois procédures de prévention mises en place par la loi du 26 juillet 2005, avec le mandat ad hoc et la sauvegarde. Elle a pour objet la recherche d'un accord amiable entre le débiteur et ses créanciers afin de résoudre les difficultés rencontrées par l'entreprise.
Après le JIR qui n'a pu être sauvé de la faillite qu'au prix d'un abandon de créance par la Sécurité sociale et par différents autres créanciers de 80% de leurs créances et une aide de la Région de 2 millions d'euros, c'est au tour du Quotidien d'afficher des résultats catastrophiques.
Le journal du Chaudron a perdu très exactement 2,387 millions l'an dernier, après une perte à peu près équivalente l'année précédente.
Le tout pour un chiffre d'affaires d'un peu plus de 14 millions.
Une situation intenable sur le long terme.
D'après nos informations, les dirigeants du Quotidien ont demandé une aide de 2,4 millions à la Région. Mais comme cette aide n'est possible que dans l'hypothèse de l'ouverture d'une procédure collective, la rumeur court avec insistance du déclenchement d'une procédure de conciliation, comme l'a évoqué Jacques Tillier dans son éditorial de samedi dernier.
Il s’agit d’une des trois procédures de prévention mises en place par la loi du 26 juillet 2005, avec le mandat ad hoc et la sauvegarde. Elle a pour objet la recherche d'un accord amiable entre le débiteur et ses créanciers afin de résoudre les difficultés rencontrées par l'entreprise.