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Pierrot Dupuy – La Fondation pour la mémoire de l’esclavage, un repaire d’indigénistes, de décoloniaux et de militants racialistes

Le 4 février dernier, je vous avais livré le premier article d’une série que je vous promettais longue sur la Fondation pour la Mémoire de l’esclavage, intitulé « [La Fondation pour la mémoire de l’esclavage, une officine du PS en vue des élections présidentielles]urlblank:https://www.zinfos974.com/Pierrot-Dupuy-La-Fondation-pour-la-Memoire-de-l-Esclavage-une-officine-du-PS-en-vue-des-elections-presidentielles_a165873.html « . J’y avais mis à l’honneur, si on peut dire, Lionel Zinsou, […]

Ecrit par zinfos974 – le mardi 09 février 2021 à 15H54

Le 4 février dernier, je vous avais livré le premier article d’une série que je vous promettais longue sur la Fondation pour la Mémoire de l’esclavage, intitulé « [La Fondation pour la mémoire de l’esclavage, une officine du PS en vue des élections présidentielles]urlblank:https://www.zinfos974.com/Pierrot-Dupuy-La-Fondation-pour-la-Memoire-de-l-Esclavage-une-officine-du-PS-en-vue-des-elections-presidentielles_a165873.html « .

J’y avais mis à l’honneur, si on peut dire, Lionel Zinsou, un franco-béninois, président de Terra Nova, le think tank du Parti socialiste, et accessoirement ancien candidat à la présidence du Bénin et également un temps poursuivi pour escroquerie aggravée en bande organisée par les TGI de Cotonou et de Paris pour une somme de 20 millions d’euros, avant que la plainte ne soit retirée suite à l' »intervention » de présidents africains amis.

Cet article n’avait été rendu possible que grâce aux remontées de lecteurs suite à deux précédents articles, « [Quand un lobby antillais essaie de mettre la main sur l’université de La Réunion… avec la complicité de Françoise Vergès]urlblank:https://www.zinfos974.com/Quand-un-lobby-antillais-essaie-de-mettre-la-main-sur-l-universite-de-La-Reunion-avec-la-complicite-de-Francoise-Verges_a163991.html  » et « [Quel intérêt pour les Réunionnais à laisser les Antillais mettre la main sur notre Histoire ?]urlblank:https://www.zinfos974.com/Pierrot-Dupuy-Quel-interet-pour-les-Reunionnais-a-laisser-les-Antillais-mettre-la-main-sur-notre-Histoire_a164429.html « .

Nous allons aujourd’hui dresser le portrait des principaux responsables de cette Fondation. Car derrière quelques figurants de la communauté afro-antillaise qui servent de caution, cette fondation est en fait pilotée par les ce qu’il reste du Parti socialiste et la crème de ce que Paris compte comme indigénistes, décoloniaux et militants racialistes.
 

 

Jean-Marc Ayrault, un ancien Premier ministre très sensible aux idées décoloniales

A tout seigneur, tout honneur. Nous allons commencer par le président de la Fondation, l’ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault.
 
Jean-Marc Ayrault est très perméable aux idées décoloniales. En 2012, recevant le CRAN (Conseil représentatif des associations noires de France), il avait annoncé que la France allait s’engager dans les réparations du crime de l’esclavage avant d’être démenti par l’Elysée.

Les positions politiques engagées de Jean-Marc Ayrault sur la place publique deviennent de plus en plus problématiques pour la Fondation : appel à voter PS aux élections européennes, annonce de la nécessité de la création d’un musée de l’esclavage à Paris en soutien à son amie Anne Hidalgo et aux revendications du CRAN malgré le refus catégorique du Président Macron, appel a débaptiser les statues et plaques de rues au nom de Colbert dans l’espace public, demande de rendre la journée du 10 mai de commémoration de l’esclavage fériée partout en France…

Sans compter son soutien au retrait de la statue de Colbert de l’Assemblée Nationale…
 
Sa position et son opposition au gouvernement sont relayées et amplifiées par de nombreux membres de la Fondation présents dans les manifestations contre le gouvernement ou contre violences policières, contre l’islamophobie, en réaction à l’affaire Traoré… et sur les réseaux sociaux.

Bref, ses interventions deviennent de plus en plus dangereuses et énervent en haut-lieu.
 
Pour aggraver le tout, sa présence à la tête d’une Fondation pour la mémoire de l’esclavage, exaspère de nombreux antillais, furieux de voir qu’un « Grand Blanc“ (à La Réunion on dirait « Gros Blanc“), maire de Nantes, premier port négrier, en soit à la tête alors qu’ils auraient préféré que ce soit un Antillais.
 
Dans leur esprit, c’est comme si la Fondation de la Shoah était présidée par… le maire d’Auschwitz ! Si la Fondation de la Résistance avait son siège à… Vichy ! Si la Fondation Charles de Gaulle était présidée par un ancien de l’OAS !  Impensable !
 
Voir Jean-Marc Ayrault, maire du port négrier de Nantes, Lionel Zinsou, descendant du royaume négrier du Bénin qui vendait ses frères, Françoise Vergés descendante d’esclavagistes de La Réunion, aux commandes de cette Fondation ne peut provoquer chez les Antillais descendants des victimes de l’esclavage que dégout, ulcération et écoeurement .
 

 

Françoise Vergès
 
On ne présente plus Françoise Vergès.

Nous aurons la gentillesse de ne pas revenir sur l’épisode de son poste de directrice de la Maison des Civilisations que lui avait offert son papa chéri et sur le gros salaire qu’elle y touchait, sur fonds publics bien évidemment, alors que les fondations de l’édifice n’avaient même pas encore vu le premier coup de pioche. D’ailleurs, Didier Robert avait été très surpris de ne trouver aucune trace des archives que les employés fantômes étaient censés avoir constitué au cours de leurs longs mois de pénible labeur…

Toujours affublée de son turban multicolore pour faire plus africaine que les Africains, véritable harpie idéologue anti-Occident, anti-France, anti-Blancs, elle est intervenue dans un camp décolonial interdit aux Blancs oubliant au passage que sa mère était zoreille…  Comme l’écrit Céline Pina, « imaginez qu’il y ait une antenne du Ku Klux Klan qui décide de faire, en France, un camp d’été, exclusivement réservé aux blancs, présentés comme les victimes d’un Etat antiségrégationniste, incapable de faire respecter la suprématie de la race caucasienne sur toutes les autres« … Effectivement, je vous laisse imaginer les réactions !

Françoise Vergès est également au premier rang de ceux qui soutiennent les destructions des statues de Blancs dans l’espace public, elle soutient les Indigènes de la République, elle a été signataire de la pétition de soutien à Tarik Ramadan, l’infâme islamiste mis en examen pour viol. Et pour finir en beauté, elle a également lancé un appel à la libération du terroriste Georges Ibrahim Abdallah….

N’en jetez plus, la coupe est pleine.
 

 

Christiane Taubira, la gourou de la secte des indigénistes
 
On ne présente plus non plus Christiane Taubira, l’ancienne ministre guyanaise de la Justice de 2012 à 2016 dans les gouvernements Jean-Marc Ayrault et de Manuel Valls, sous la présidence de François Hollande.

Dans le registre qui nous intéresse, elle est présidente des Amis de la Fondation et est la gourou des indigénistes parisiens qui gravitent autour de la Fondation.

Véritable guest-star de tous les grands rendez-vous organisés par celle-ci, aux côtés entre autres de Joey Starr, elle avait décrété que seule la traite négrière pratiquée par les occidentaux était un crime contre l’humanité mais pas la traite intra-africaine, ni celles des Barbaresques contre les Blancs et encore moins celle pratiquée par les arabos-musulmans. Car, comme elle l’expliquait, “il ne faut pas que les jeunes arabes se sentent coupables des méfaits de leurs ancêtres“ (interview à l’Express le 4 mai 2006).

Pour Christiane Taubira, il n’y a crime contre l’humanité que s’il est commis par des blancs catholiques contre des non-blancs.
 
Et comme l’avait dit en 2017 Gérald Darmanin, l’actuel ministre de l’Intérieur, cette femme « est un tract ambulant pour le Front national“.

Apportons également à son crédit ses déclarations selon lesquelles la famille Traoré (soutenue par de nombreux islamistes et fichés S dans les manifs) était « une chance pour la France“

Enfin, elle est à l’origine de la loi du tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité, même si Huguette Bello et Elie Hoarau en ont été les véritables initiateurs.
 

 

Le Sénégalais Doudou Diène est rapporteur du Conseil d’orientation de la Fondation pour la Mémoire de l’Esclavage. Ancien directeur de l’Unesco et rapporteur au Haut Commissariat aux Droits de l’Homme de l’ONU, deux organisations gauchistes anti-occidentales et pro-islamiques où la mémoire de la traite arabo-musulmane est taboue et où la France est régulièrement dénoncée comme une nation islamophobe, raciste… 

Il est également l’auteur de déclarations outrancières contre l’Etat français, la Droite, les historiens non bien-pensants…
 

 

Pascal Blanchard est un historien militant de gauche « terranoviste » et repentant patenté qui ne jure que par les méfaits de la colonisation, rendue responsable des tous les maux de la société actuelle et pour laquelle il réclame un musée national à Paris.

Contesté par beaucoup d’historiens, surnommé le “bonimenteur du post-colonial business“, il a une influence de plus en plus grandissante dans la doctrine de la Fondation et dans sa dérive vers les enjeux de la colonisation-décolonisation et de l’Afrique, au grand dam des Antillais dépossédés de l’outil et de leur mémoire.

Quant aux Réunionnais, mieux vaut ne même pas en parler. Mais nous aurons l’occasion d’y revenir dans plusieurs prochains articles.

 

 

Pierre-Yves Bocquet est l’ancien conseiller mémoire de Hollande, énarque, IGAS, mauvais génie du système, il est à la manoeuvre pour la création et l’orientation prise par la fondation dont il est directeur-adjoint.

Expert en rap, on lui doit entre autres la formidable idée qui a viré à la polémique sur le rappeur Black M jouant du rap entre les tombes des poilus à Verdun en 2016.

Ne vous étonnez donc pas si on retrouve donc le rap dans les grands rendez-vous à venir de la Fondation.
 
 

 

Aissata Seck est la petite fille d’un ancien tirailleur sénégalais. Scandalisée par le peu de reconnaissance envers ces Africains venus se battre pour la France, elle crée l’association pour la mémoire et l’histoire des tirailleurs sénégalais, un poste qui la fera connaitre du grand public… et des hommes politiques.

Militante socialiste, ancienne porte-parole de Benoit Hamon, elle est très engagée dans les manifestations pro-Traoré, pro-islamiques, contre les violences policières…

Elle n’hésite pas à s’afficher avec Taha Bouafs, le sulfureux militant qui hurlait Allah Akbar lors de la manifestation contre l’islamophobie et qui a piégé le président Macron au théâtre en novembre dernier.

Voilà quelques portraits de ceux qui dilapident l’argent public. Nous aurons l’occasion de revenir également sur ce point.

La suite au prochain épisode…
 

 

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