Il y a de cela environ trois semaines, c'est-à-dire avant l'obligation faite aux passagers de présenter un test négatif en plus des attestations de triple vaccination, une jeune femme apprend qu'une de ses connaissances s'apprête à prendre l'avion munie d'un faux pass sanitaire.
Travaillant dans le milieu de la santé, elle sait à quel point la présence d'une personne non vaccinée et susceptible d'être malade à bord d'un environnement confiné comme un avion, pendant 11h de vol, peut être excessivement dangereux.
N'écoutant que son sens du devoir, elle appelle donc l'ARS pour signaler le fait. La personne qui lui répond l'oriente vers un mail spécialisé, ars-reunion-signal@ars.sante.fr. Là, elle laisse le nom de la personne incriminée et le jour où elle s'apprête à prendre l'avion.
Le lendemain de la date du départ, elle écoute les informations à la radio, s'attendant à ce qu'on annonce l'arrestation de la fautive. Rien. Le lendemain, rien non plus dans la presse.
Elle se renseigne et apprend que la personne en question a pu tranquillement prendre l'avion. Elle se trouve encore actuellement en métropole où elle coule des vacances tranquilles...
Travaillant dans le milieu de la santé, elle sait à quel point la présence d'une personne non vaccinée et susceptible d'être malade à bord d'un environnement confiné comme un avion, pendant 11h de vol, peut être excessivement dangereux.
N'écoutant que son sens du devoir, elle appelle donc l'ARS pour signaler le fait. La personne qui lui répond l'oriente vers un mail spécialisé, ars-reunion-signal@ars.sante.fr. Là, elle laisse le nom de la personne incriminée et le jour où elle s'apprête à prendre l'avion.
Le lendemain de la date du départ, elle écoute les informations à la radio, s'attendant à ce qu'on annonce l'arrestation de la fautive. Rien. Le lendemain, rien non plus dans la presse.
Elle se renseigne et apprend que la personne en question a pu tranquillement prendre l'avion. Elle se trouve encore actuellement en métropole où elle coule des vacances tranquilles...