
Pierre Verges avait souhaité se mettre en retrait du PCR (Parti Communiste Réunionnais) et se dit désormais dans une démarche progressiste, notamment en tant que conseiller général du groupe de l'Alliance. Mais après tant d'expérience en politique, peut-il se contenter de donner un simple point de vue ?
Pour lui, la tâche ne peut pas être assumée par une seule et même personne quand il s'agit "de réunifier des forces désagrégées, éloignées et des personnalités en conflits". Il assure qu'il est impossible d'être "tout noir ou tout blanc" quand on appelle au rassemblement.
Sans chercher à fédérer quoi que ce soit, il en appelle cependant à la "raison" pour "trouver des terrains d'entente, mais à ne pas étaler en place publique. Il faut rendre compte des travaux de discussions et mettre de côté les égos et rancoeurs. Il y a des règles à avoir, des règles de respect, de loyauté, de solidarité et pourquoi pas, avec de l'espoir, de fraternité".
Si des discussions ne sont pas faites, le "camp va s'étioler", explique-t-il. Il ajoute que le PS a eu "un sursis avec les municipales" mais que "rien ne dit que ça va pas être un refus plus tard" et qu'il faut "déterminer comment se retrouver".
Affirmant "ne pas avoir de plan de carrière" il se dit tout de même "prêt à apporter sa pierre à l'édifice".
Pour lui, la tâche ne peut pas être assumée par une seule et même personne quand il s'agit "de réunifier des forces désagrégées, éloignées et des personnalités en conflits". Il assure qu'il est impossible d'être "tout noir ou tout blanc" quand on appelle au rassemblement.
Sans chercher à fédérer quoi que ce soit, il en appelle cependant à la "raison" pour "trouver des terrains d'entente, mais à ne pas étaler en place publique. Il faut rendre compte des travaux de discussions et mettre de côté les égos et rancoeurs. Il y a des règles à avoir, des règles de respect, de loyauté, de solidarité et pourquoi pas, avec de l'espoir, de fraternité".
Si des discussions ne sont pas faites, le "camp va s'étioler", explique-t-il. Il ajoute que le PS a eu "un sursis avec les municipales" mais que "rien ne dit que ça va pas être un refus plus tard" et qu'il faut "déterminer comment se retrouver".
Affirmant "ne pas avoir de plan de carrière" il se dit tout de même "prêt à apporter sa pierre à l'édifice".