Le robot Philae qui analyse la comète Tchouri et qui s’est réveillé depuis juin dernier après avoir été inactif, y a constaté des traces qui pourraient attester d’une vie extraterrestre avec la présence supposée de micro-organismes d’après les premières caractéristiques recueillies de ce qui se trouve sous la surface de la croûte du sol et des lacs glaciaires.
La sonde spatiale européenne Rosetta qui scrute elle aussi la comète aurait aussi récolté d’énigmatiques échantillons de matière organique qui pourraient s’apparenter à des particules virales. Des recherches scientifiques, via des simulations informatiques, ont ainsi mis en évidence que des substances microbiennes pourraient être présentes dans les différentes parties de la comète où de l’eau a été localisée.
Malheureusement, ni Philae ni Rosetta n’ont été dotés avant leur départ de moyens de recherche approfondie sur l’éventualité de l’existence d’une forme vivante extraterrestre sur la comète.