
Des résidus de pesticides dans l’air ambiant? C’est ce que va tenter de déterminer Atmo Réunion, Observatoire régional de la qualité de l’air, en participant à la première campagne nationale de mesure des résidus de pesticides dans l’air.
Depuis le 25 juin et durant un an, des prélèvements sont effectués sur un site de la Petite Ile. La commune a ainsi été choisie pour "la représentativité et diversité des cultures locales (maraichage, production fruitière, canne à sucre) utilisant potentiellement des pesticides; la proximité d'habitations; l’ altitude raisonnable; le contexte géographique (relief) et météorologique (vents dominants) favorables". Une étude réalisée en lien avec le comité de pilotage composé de la DEAL, DAAF, le Département et la Chambre d’agriculture qui vise également à mieux connaître l'exposition de la population.
L’exploitation des résultats débutera en octobre 2019 pour un rendu prévu fin 2019.
"Au niveau national, environ 80 substances prioritaires ont été identifiées en fonction de leurs présences avérées dans l’air et de leurs impacts potentiels sur l’environnement et la santé. Le choix des substances à mesurer a été établi en fonction d’un recensement régional mené sur le volume des ventes de produits phytosanitaire sur une période de 3 ans (2014-2016)", indique Atmo Réunion.
Depuis le 25 juin et durant un an, des prélèvements sont effectués sur un site de la Petite Ile. La commune a ainsi été choisie pour "la représentativité et diversité des cultures locales (maraichage, production fruitière, canne à sucre) utilisant potentiellement des pesticides; la proximité d'habitations; l’ altitude raisonnable; le contexte géographique (relief) et météorologique (vents dominants) favorables". Une étude réalisée en lien avec le comité de pilotage composé de la DEAL, DAAF, le Département et la Chambre d’agriculture qui vise également à mieux connaître l'exposition de la population.
L’exploitation des résultats débutera en octobre 2019 pour un rendu prévu fin 2019.
"Au niveau national, environ 80 substances prioritaires ont été identifiées en fonction de leurs présences avérées dans l’air et de leurs impacts potentiels sur l’environnement et la santé. Le choix des substances à mesurer a été établi en fonction d’un recensement régional mené sur le volume des ventes de produits phytosanitaire sur une période de 3 ans (2014-2016)", indique Atmo Réunion.