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Petit ver pour gros pigeon…

Il ne suffit pas d’être restaurateur sur un des sites touristiques les plus prisés de la Réunion et d’en utiliser même le nom pour faire un jeu de mot culinaire, du style Boucan-dîne ou Boucan-time….pour mériter ses lettres de noblesse et le respect de ses clients. Me voilà en cette belle journée de la Saint-Valentin,  […]

Ecrit par zinfos974 – le dimanche 14 février 2016 à 20H44

Il ne suffit pas d’être restaurateur sur un des sites touristiques les plus prisés de la Réunion et d’en utiliser même le nom pour faire un jeu de mot culinaire, du style Boucan-dîne ou Boucan-time….pour mériter ses lettres de noblesse et le respect de ses clients.

Me voilà en cette belle journée de la Saint-Valentin,  motiver pour me rendre en famille à Boucan Canot et admirer cette magnifique plage rendue depuis peu à ses baigneurs avec la pose de filets anti-requins.

Tout se passe bien jusqu’à cet arrêt dans un restaurant connu de la place.

La commande passée à 12h30 pour 4 cocktails et voilà le début d’une longue attente sous une chaleur écrasante jusqu’à 13h50, heure précise où un serveur transpirant vient vous apporter vos boissons désirées.

Puis suivent les repas à 14h20, soit près de 2h après la commande.

Pourtant rien de complexe et pas foule en terrasse :
– sushis
– assortiment de crudités
– panini
– tarte du jour

Et voilà l’horreur qui se présente sous nos yeux, un ver, un véritable asticot à pourriture qui se balade dans le pot à soja. Je demande immédiatement au serveur de voir le patron.

Ce monsieur installé en caisse sous son ventilateur, ne daigne naturellement pas sortir et m’oblige à me lever pour lui demander des explications. A mes revendications sur la présence de ce ver dans les sushis, il me dit tout souriant que ses produits sont frais et bio, garantie sans pesticides.

Je dois garder mon sang froid devant un tel tissu de conneries, sachant que ce monsieur voulait me faire avaler un asticot pour une chenille hyper-protéinée…

C’est honteux quand je vois de l’argent si facilement gagné par ces restaurateurs gâtés et jamais contents de leur sort.

Avant de quitter les lieux, je croisais un agent d’escale du SUN PRINCESS avec un groupe de croisiéristes désireux de se désaltérer devant la beauté du site. Je ne pouvais m’empêcher de penser au niveau médiocre des prestations offertes par le soi-disant professionnel et son élevage d’asticots, que même des pigeons affamés ne mangeraient pas.

Hervé LEPRINCE.
 

 

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