Sa vice-présidente, Dina Boluarte, a été désignée pour le remplacer à la tête de ce pays coutumier des crises politiques, devenant la première femme à occuper la fonction.
Selon les médias péruviens, l’ancien chef d’Etat a été transféré vers une base des forces spéciales de la police à Lima. Il devrait y être détenu pour une durée maximale de 15 jours.
C’était la troisième motion de destitution à laquelle Pedro Castillo a dû faire face, les deux premières, pour « incapacité morale », n’ayant pas abouti.
À l’homme issu du parti Pérou Libre, se revendiquant du socialisme et du marxisme, le Parlement dominé par l’opposition de droite reprochait un chaos permanent, rapporte TV5 Monde.