Plus de la moitié des Réunionnais vivent dans des quartiers précaires selon la cartographie de l’Insee de la pauvreté par quartier à La Réunion. 13 quartiers urbains ont été répertoriés comme concentrant des difficultés économiques. Parmi eux, des quartiers de Saint-Louis.
En 2014, la ville a lancé une analyse des besoins sociaux. 52 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. "La plupart des foyers vivent malheureusement des prestations sociales et ils ont besoin de retrouver leur dignité. C’est vrai que ces revenus modestes leur permettent de survivre mais la cause déterminante de ce constat est l’absence d’emploi", explique Emmanuelle Sinacouty, conseillère municipale et vice-présidente du CCAS. La ville entend créer les conditions favorables à l’installation d’entreprises sur son territoire pour tenter de pallier l’arrêt des contrats aidés.
Les quartiers de la Zac Avenir, le centre-ville, Palissade, le Gol ou encore Roche Maigre concentrent des populations qui cumulent des difficultés socio-économiques. Outre les cas d’urgence, le CCAS a pour objectif de davantage informer ces populations sur leurs droits sociaux par la mise en place d’ateliers numériques pour les personnes âgées ou la création d’agences communales pour l’accès au droit, à l’information et aux services (ACADIS).
Entre 2010 et 2015, la situation s’est dégradée dans les quartiers urbains qui cumulaient déjà les difficultés socio-économiques, observe l’insee. Un constat qui pose la question de l’efficacité des politiques publiques à lutter contre la pauvreté.
En 2014, la ville a lancé une analyse des besoins sociaux. 52 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. "La plupart des foyers vivent malheureusement des prestations sociales et ils ont besoin de retrouver leur dignité. C’est vrai que ces revenus modestes leur permettent de survivre mais la cause déterminante de ce constat est l’absence d’emploi", explique Emmanuelle Sinacouty, conseillère municipale et vice-présidente du CCAS. La ville entend créer les conditions favorables à l’installation d’entreprises sur son territoire pour tenter de pallier l’arrêt des contrats aidés.
Les quartiers de la Zac Avenir, le centre-ville, Palissade, le Gol ou encore Roche Maigre concentrent des populations qui cumulent des difficultés socio-économiques. Outre les cas d’urgence, le CCAS a pour objectif de davantage informer ces populations sur leurs droits sociaux par la mise en place d’ateliers numériques pour les personnes âgées ou la création d’agences communales pour l’accès au droit, à l’information et aux services (ACADIS).
Entre 2010 et 2015, la situation s’est dégradée dans les quartiers urbains qui cumulaient déjà les difficultés socio-économiques, observe l’insee. Un constat qui pose la question de l’efficacité des politiques publiques à lutter contre la pauvreté.