Le conseil municipal de St-Louis ce mercredi promettait d’être houleux. L’affaire 18 portant sur le retrait du plan du titularisation, promis par l’ex et par l’actuel maire de la ville à quelques mois des municipales, divisait la majorité.
La grogne montait dans les rangs depuis quelques jours déjà. La menace de bloquer l’entrée des élus au conseil réuni à la mairie annexe de La Rivière n'a toutefois pas été mise à exécution.
En jeu, l’avenir de 565 agents communaux à qui la titularisation à temps partiel dans le cadre d’une réorganisation avait été proposée, sans peser sur le budget de la commune, assurait-elle. Le plan adopté le 11 avril, non sans questionnements de l’opposition, a finalement fait l’objet d’un recours gracieux du sous-préfet de St-Pierre le 11 septembre dernier. L’accès égal à l’emploi, la suppression des heures supplémentaires et les économies réalisées par cette réorganisation ont été remises en question.
La grogne montait dans les rangs depuis quelques jours déjà. La menace de bloquer l’entrée des élus au conseil réuni à la mairie annexe de La Rivière n'a toutefois pas été mise à exécution.
En jeu, l’avenir de 565 agents communaux à qui la titularisation à temps partiel dans le cadre d’une réorganisation avait été proposée, sans peser sur le budget de la commune, assurait-elle. Le plan adopté le 11 avril, non sans questionnements de l’opposition, a finalement fait l’objet d’un recours gracieux du sous-préfet de St-Pierre le 11 septembre dernier. L’accès égal à l’emploi, la suppression des heures supplémentaires et les économies réalisées par cette réorganisation ont été remises en question.
"Je me refuse à signer 450 arrêtés illégaux (en fonction des statuts des agents ndlr)", a commenté le maire de Saint-Louis. Et d'ajouter au sujet des élus dissidents : "c'est clairement une crise politique".
Le conseil municipal a finalement été reporté au 13 novembre, faute de quorum atteint. Une bonne partie des élus de la majorité ne se sont pas présentés.
"Si ce soir, la délibération avait été approuvée, le contrôle de la légalité l'aurait déclarée non conforme", indique Philippe Rangama du Peup qui félicite tout de même le maire "de ne pas être tombé dans cette forme de pression instiguée par certains".
La réaction de Bertrand Louis Grondin conseiller municipal, au micro de Prisca Bigot :
Le conseil municipal a finalement été reporté au 13 novembre, faute de quorum atteint. Une bonne partie des élus de la majorité ne se sont pas présentés.
"Si ce soir, la délibération avait été approuvée, le contrôle de la légalité l'aurait déclarée non conforme", indique Philippe Rangama du Peup qui félicite tout de même le maire "de ne pas être tombé dans cette forme de pression instiguée par certains".
La réaction de Bertrand Louis Grondin conseiller municipal, au micro de Prisca Bigot :