Une page s'est tournée à Saint-Benoît avec votre victoire dimanche soir lors du second tour des municipales. Quel est votre ressenti avant votre installation officielle ce samedi ?
Je l'ai toujours dit, notre projet est avant tout solidaire, mais aussi de développement économique pour notre commune. Il faut à présent une équipe jeune, dynamique et compétente qui se mette au travail.
Que retenez-vous des mandatures successives de Jean-Claude Fruteau et quel a été son impact sur Saint-Benoît ?
Jean-Claude Fruteau a été un vrai bâtisseur pour Saint-Benoît. Je me suis engagé en politique grâce à lui et je l'en remercie chaleureusement, c'est un homme que je respecte. Aujourd'hui effectivement, une page se tourne et une nouvelle doit être écrite.
Comment se sont déroulées les tractations d'entre-deux tours ?
J'ai toujours été un homme de rassemblement, avec derrière moi des femmes et des hommes politiques d'horizons politiques différents au premier tour. J'ai effectivement discuté avec les candidats du second tour pour toujours rassembler le plus largement possible. Et ce qui s'est produit c'est que finalement, je me suis heurté à des ambitions personnelles qui m'ont conduit à partir seul avec mon équipe auprès des Bénédictins.
Quelle sera votre "touche" sur ces six prochaines années en tant que maire de Saint-Benoît ?
Je l'ai dit, je serais un maire présent, un maire visible et donc un maire de proximité. À la suite de mon installation, j'irai à la rencontre de toutes ces familles que j'ai rencontrées durant les nombreux mois de campagne. Un des premiers chantiers qui sera le mien ce sera bien évidemment de redresser les comptes de notre collectivité parce que sans ça, aucun projet ne pourra sortir de terre. Une fois cette étape franchie, nous pourrons mettre en oeuvre le programme que nous avons présenté aux Bénédictins et sur lequel nous avons été élus.
Quelle sera votre position au sein de l'intercommunalité ?
Ce que je constate aujourd'hui c'est que Saint-Benoît a été la commune la moins bien dotée au niveau de la micro-région Est mais aussi la commune qui a eu le moins de projets se concrétiser sur son territoire. Moi ce que je veux c'est rééquilibrer les choses: il faut que demain Saint-Benoît fasse partie du projet de développement global de notre micro-région.
Je l'ai toujours dit, notre projet est avant tout solidaire, mais aussi de développement économique pour notre commune. Il faut à présent une équipe jeune, dynamique et compétente qui se mette au travail.
Que retenez-vous des mandatures successives de Jean-Claude Fruteau et quel a été son impact sur Saint-Benoît ?
Jean-Claude Fruteau a été un vrai bâtisseur pour Saint-Benoît. Je me suis engagé en politique grâce à lui et je l'en remercie chaleureusement, c'est un homme que je respecte. Aujourd'hui effectivement, une page se tourne et une nouvelle doit être écrite.
Comment se sont déroulées les tractations d'entre-deux tours ?
J'ai toujours été un homme de rassemblement, avec derrière moi des femmes et des hommes politiques d'horizons politiques différents au premier tour. J'ai effectivement discuté avec les candidats du second tour pour toujours rassembler le plus largement possible. Et ce qui s'est produit c'est que finalement, je me suis heurté à des ambitions personnelles qui m'ont conduit à partir seul avec mon équipe auprès des Bénédictins.
Quelle sera votre "touche" sur ces six prochaines années en tant que maire de Saint-Benoît ?
Je l'ai dit, je serais un maire présent, un maire visible et donc un maire de proximité. À la suite de mon installation, j'irai à la rencontre de toutes ces familles que j'ai rencontrées durant les nombreux mois de campagne. Un des premiers chantiers qui sera le mien ce sera bien évidemment de redresser les comptes de notre collectivité parce que sans ça, aucun projet ne pourra sortir de terre. Une fois cette étape franchie, nous pourrons mettre en oeuvre le programme que nous avons présenté aux Bénédictins et sur lequel nous avons été élus.
Quelle sera votre position au sein de l'intercommunalité ?
Ce que je constate aujourd'hui c'est que Saint-Benoît a été la commune la moins bien dotée au niveau de la micro-région Est mais aussi la commune qui a eu le moins de projets se concrétiser sur son territoire. Moi ce que je veux c'est rééquilibrer les choses: il faut que demain Saint-Benoît fasse partie du projet de développement global de notre micro-région.