
C’est dans l’urgence que la CGPME Réunion a décidé d’organiser ce matin une réunion pour informer adhérents et autres sur l’imminence de l’extension de l’accord du Cospar.
Le 3 juillet dernier, une réunion exceptionnelle s’est tenue au siège de la CGPME à Paris. L’absence de l’UPA (Union professionnelle artisanale), et de ce fait, une insuffisance d’opposition dans les instances nationales, a pour le moment enlevé l’espoir que l’accord ne puisse pas être étendu.
"Il était important pour nous de partager cette information avec les adhérents et autres organisations afin de bien réfléchir sur ce que nous allons faire dans les jours à venir", a expliqué ce matin le président de la CGPME Réunion, Pascal Thiaw-Kine.
Une deuxième réunion est prévue cet après-midi pour la tenue d’une conférence de presse en début de semaine prochaine. L’idée étant de sensibiliser entrepreneurs, mais aussi public, sur les dangers et les conséquences de cette extension.
"J’ai globalement senti un climat d’inquiétude ce matin, sur les niveaux d’activités, et par conséquent, l’impact sur la trésorerie. Les chefs d’entreprise présents n’étaient pas dans une posture de dire : on ne veut pas payer 50 euros mais on ne peut pas les payer", a rappelé le président.
Ce dernier dénonce l’illogique politique dont fait preuve le gouvernement qui "malheureusement veut faire du passage en force et n’essaie pas de trouver des voies de sortie pour accompagner les TPE/PME. On est dans un discours de sourds" a-t-il conclu.
Le 3 juillet dernier, une réunion exceptionnelle s’est tenue au siège de la CGPME à Paris. L’absence de l’UPA (Union professionnelle artisanale), et de ce fait, une insuffisance d’opposition dans les instances nationales, a pour le moment enlevé l’espoir que l’accord ne puisse pas être étendu.
"Il était important pour nous de partager cette information avec les adhérents et autres organisations afin de bien réfléchir sur ce que nous allons faire dans les jours à venir", a expliqué ce matin le président de la CGPME Réunion, Pascal Thiaw-Kine.
Une deuxième réunion est prévue cet après-midi pour la tenue d’une conférence de presse en début de semaine prochaine. L’idée étant de sensibiliser entrepreneurs, mais aussi public, sur les dangers et les conséquences de cette extension.
"J’ai globalement senti un climat d’inquiétude ce matin, sur les niveaux d’activités, et par conséquent, l’impact sur la trésorerie. Les chefs d’entreprise présents n’étaient pas dans une posture de dire : on ne veut pas payer 50 euros mais on ne peut pas les payer", a rappelé le président.
Ce dernier dénonce l’illogique politique dont fait preuve le gouvernement qui "malheureusement veut faire du passage en force et n’essaie pas de trouver des voies de sortie pour accompagner les TPE/PME. On est dans un discours de sourds" a-t-il conclu.