Le principal du collège de Salazie, Jean-Leu Enilvent, mis en examen pour harcèlement moral et sexuel et agression sexuelle, a vu sa demande de remise en liberté être rejetée par la présidente de la chambre de l’instruction.
« Une décision essentiellement motivée par le risque de pression sur les victimes », écrit Le Quotidien. Des victimes qui doivent encore être entendues prochainement.
Lors de sa garde à vue, Jean-Leu Enilvent avait reconnu les faits qui lui étaient reprochés, avant de les nier. Il devrait être entendu dans les deux prochains mois par un magistrat instructeur écrit de son côté le JIR.
Passé ces deux mois, s’il n’a toujours pas été entendu et en cas de nouvelle demande de remise en liberté, la chambre pourra le mettre en liberté sous contrôle judiciaire strict, ajoute le média.