Pour la quatrième année de suite, la hausse du salaire minimum ne devrait pas être supérieure à la stricte application de la formule légale, ont rapporté Les Echos hier.
Le 1er janvier prochain, le salaire minimum ne bénéficiera donc pas du fameux coup de pouce, réclamé depuis quatre ans par la gauche de la gauche et par plusieurs syndicats, rapportent Les Echos.
Son augmentation se limitera donc à la seule formule de calcul légale, qui n’est pas des plus simples. Depuis 2013, la revalorisation du Smic est en effet indexée sur l’inflation mesurée pour les ménages du premier quintile de la distribution des niveaux de vie (en clair, les 20% des ménages les plus modestes). Mais aussi sur la base de "la moitié du gain de pouvoir d’achat du salaire horaire moyen des ouvriers et des employés".
L’application de cette formule devrait entraîner une hausse d’un peu plus de 0,5%. En janvier dernier, le Smic avait augmenté de 0,8% pour atteindre 9,61 euros bruts par heure, et 1.466 euros bruts par mois pour un salarié à temps plein.
Cette absence de coup de pouce s’explique, selon Les Echos, par le flou entourant l’avenir économique du pays.
Le 1er janvier prochain, le salaire minimum ne bénéficiera donc pas du fameux coup de pouce, réclamé depuis quatre ans par la gauche de la gauche et par plusieurs syndicats, rapportent Les Echos.
Son augmentation se limitera donc à la seule formule de calcul légale, qui n’est pas des plus simples. Depuis 2013, la revalorisation du Smic est en effet indexée sur l’inflation mesurée pour les ménages du premier quintile de la distribution des niveaux de vie (en clair, les 20% des ménages les plus modestes). Mais aussi sur la base de "la moitié du gain de pouvoir d’achat du salaire horaire moyen des ouvriers et des employés".
L’application de cette formule devrait entraîner une hausse d’un peu plus de 0,5%. En janvier dernier, le Smic avait augmenté de 0,8% pour atteindre 9,61 euros bruts par heure, et 1.466 euros bruts par mois pour un salarié à temps plein.
Cette absence de coup de pouce s’explique, selon Les Echos, par le flou entourant l’avenir économique du pays.