
Photo : Pierre Marchal, Anakaopress
C’est sur sa page facebook que le Réunionnais Jérémy Flores a tenu à réagir par rapport à la décision du gouvernement d'interdire l’accès aux plages jusqu’au premier juin en raison de la crise du COVID-19. Incompréhensible pour le surfeur professionnel, qui s’entraîne de nouveau sur les vagues tahitiennes depuis plusieurs jours déjà.
"J’habite maintenant à Tahiti. J’ai la chance de pouvoir re-surfer depuis mercredi après 48 jours sans surfer. Même éloigné, je pense pouvoir donner mon avis en tant que surfeur français !", écrit le sportif.
"Aujourd’hui, comme souvent, j’ai pris des vagues pour toute la communauté de surfeurs (et usagers de la mer) réunionnais, qui sont, eux, interdits d’accès à la mer depuis 7 ans. Vous imaginez ? 7 ans ! Pour eux, la privation de l'océan ne se compte pas en quelques semaines mais en années. Je pense que c’est bien de le préciser au vu de ce qui se passe en ce moment avec le COVID19. C'est très dur pour tout le monde", exprime-t-il encore.
"Evidemment, je suis également touché par ce qui se passe sur tout le territoire français. Je pense aux victimes et à leurs familles, je pense aussi au personnel de santé qui est en première ligne pour nous sauver. L'épidémie est encore là, il faut faire très attention. Je suis néanmoins surpris par l'interdiction d'accéder à la plage et, donc, de pratiquer les sports nautiques jusqu’au 1er juin, au moins", poursuit-il, espérant que "le Gouvernement français pourra lever cette interdiction".
Le surfeur apporte son soutien au concept de "plage dynamique" "pour que les surfeurs français puissent, tous, avoir accès à l'océan en respectant les consignes sanitaires".
"J’habite maintenant à Tahiti. J’ai la chance de pouvoir re-surfer depuis mercredi après 48 jours sans surfer. Même éloigné, je pense pouvoir donner mon avis en tant que surfeur français !", écrit le sportif.
"Aujourd’hui, comme souvent, j’ai pris des vagues pour toute la communauté de surfeurs (et usagers de la mer) réunionnais, qui sont, eux, interdits d’accès à la mer depuis 7 ans. Vous imaginez ? 7 ans ! Pour eux, la privation de l'océan ne se compte pas en quelques semaines mais en années. Je pense que c’est bien de le préciser au vu de ce qui se passe en ce moment avec le COVID19. C'est très dur pour tout le monde", exprime-t-il encore.
"Evidemment, je suis également touché par ce qui se passe sur tout le territoire français. Je pense aux victimes et à leurs familles, je pense aussi au personnel de santé qui est en première ligne pour nous sauver. L'épidémie est encore là, il faut faire très attention. Je suis néanmoins surpris par l'interdiction d'accéder à la plage et, donc, de pratiquer les sports nautiques jusqu’au 1er juin, au moins", poursuit-il, espérant que "le Gouvernement français pourra lever cette interdiction".
Le surfeur apporte son soutien au concept de "plage dynamique" "pour que les surfeurs français puissent, tous, avoir accès à l'océan en respectant les consignes sanitaires".