Pour le PCO, ce sont les procédures de recrutement et la sélection des candidats à un poste qui posent problème. Le parti veut donc travailler à l’alimentation d’un programme d’émancipation économique et sociale des Réunionnais, tout en étant force de proposition.
"Nous proposons trois mesures, pour dépasser le stade de la critique", explique Vanessa Pignolet, porte parole du PCO.
Recenser les postes vacants sur notre île
"Il faudrait tout d’abord que nous puissions avoir une transparence sur l’ensemble des postes disponibles, avec une cartographie des besoins en recrutement des employeurs sur l’île. Cela permettrai de pouvoir rapatrier les Réunionnais partis faire leurs études en métropole ou ailleurs" explique Vanessa Pignolet.
"Être Domien est un handicap sur le marché du travail"
Ensuite, l’équipe propose de légiférer en ce sens, d’élaborer un projet de loi spécifique pour une réelle déclinaison politique du concept de préférence régionale. "Il faut reconnaître que la fait d’être Domien comme un handicap sur le marché de l’emploi local, du fait du sinistre économique dû à une situation néocoloniale et du chômage endémique comme sa conséquence directe".
"On ne parle pas d’origine, mais du lieu de vie"
Concrètement, le Parti propose qu’à l’ouverture d’un poste, ce soit le critère de proximité géographique qui prime. "Il y a un critère objectif à respecter. Nous ne parlons pas d’origine mais de lieu de vie. On ne dit pas que le Réunionnais sera privilégié mais la personne qui vit à la Réunion, ce n’est pas la même chose", précise Vanessa Pignolet. À titre de sanction, l’employeur devrait payer une amende proportionnelle à l’éloignement géographique entre le candidat choisi et le lieux de travail.
Dernière mesure proposée par le Parti Croire et Oser, la constitution de comités de recrutement populaires pour pourvoir les postes à forte responsabilité et d’influence sur la société civile, du type Recteur d’Académie, Président d’Université ou d’hôpitaux, dans le public comme le privé.
Des procédures de recrutement opaques
"Il faut associer la société civile à ces procédures de recrutement qui pour nous sont opaques", explique le porte-parole. "Constitués de 50% de professionnels de la branche et de 50% de citoyens tirés au sort, ces comités permettraient aux Réunionnais de se sentir concernés, d’être partie prenante et donc entrant dans un projet d’émancipation", conclut le parti.
"Nous proposons trois mesures, pour dépasser le stade de la critique", explique Vanessa Pignolet, porte parole du PCO.
Recenser les postes vacants sur notre île
"Il faudrait tout d’abord que nous puissions avoir une transparence sur l’ensemble des postes disponibles, avec une cartographie des besoins en recrutement des employeurs sur l’île. Cela permettrai de pouvoir rapatrier les Réunionnais partis faire leurs études en métropole ou ailleurs" explique Vanessa Pignolet.
"Être Domien est un handicap sur le marché du travail"
Ensuite, l’équipe propose de légiférer en ce sens, d’élaborer un projet de loi spécifique pour une réelle déclinaison politique du concept de préférence régionale. "Il faut reconnaître que la fait d’être Domien comme un handicap sur le marché de l’emploi local, du fait du sinistre économique dû à une situation néocoloniale et du chômage endémique comme sa conséquence directe".
"On ne parle pas d’origine, mais du lieu de vie"
Concrètement, le Parti propose qu’à l’ouverture d’un poste, ce soit le critère de proximité géographique qui prime. "Il y a un critère objectif à respecter. Nous ne parlons pas d’origine mais de lieu de vie. On ne dit pas que le Réunionnais sera privilégié mais la personne qui vit à la Réunion, ce n’est pas la même chose", précise Vanessa Pignolet. À titre de sanction, l’employeur devrait payer une amende proportionnelle à l’éloignement géographique entre le candidat choisi et le lieux de travail.
Dernière mesure proposée par le Parti Croire et Oser, la constitution de comités de recrutement populaires pour pourvoir les postes à forte responsabilité et d’influence sur la société civile, du type Recteur d’Académie, Président d’Université ou d’hôpitaux, dans le public comme le privé.
Des procédures de recrutement opaques
"Il faut associer la société civile à ces procédures de recrutement qui pour nous sont opaques", explique le porte-parole. "Constitués de 50% de professionnels de la branche et de 50% de citoyens tirés au sort, ces comités permettraient aux Réunionnais de se sentir concernés, d’être partie prenante et donc entrant dans un projet d’émancipation", conclut le parti.