Une lueur d’espoir avait jailli hier soir alors qu’une photo prise par un drone laissait apparaitre des masses de couleurs qui tranchaient avec le gris, le vert et le jaune habituels des rochers et de la végétation.
Dès 5H, un survol de la zone a été réalisé par les secours pour lever les doutes. D’après les militaires du PGHM, les formes aux couleurs intrigantes ne sont finalement que des branches et l’ombre de celles-ci. L’aide de ces bénévoles reste bénéfique même si "l’affect peut faire voir ce que l’on a envie de voir", concède le PGHM.
Après au total plus de 8 heures de survol en hélicoptère de différentes zones, les recherches vont désormais se concentrer au sol avec également l'utilisation de drone. Ce jeudi, elles ont été menées à nouveau du côté du Morne Langevin. Une vingtaine d’hommes du PGHM, les gendarmes du GMG (Groupe Montagne Gendarmerie) et de la brigade de Saint-Pierre ont ratissé le secteur escarpé à la végétation dense.
Un point des recherches doit être effectué ce soir en présence notamment du directeur de l’enquête et des personnels engagés sur place.
Dès 5H, un survol de la zone a été réalisé par les secours pour lever les doutes. D’après les militaires du PGHM, les formes aux couleurs intrigantes ne sont finalement que des branches et l’ombre de celles-ci. L’aide de ces bénévoles reste bénéfique même si "l’affect peut faire voir ce que l’on a envie de voir", concède le PGHM.
Après au total plus de 8 heures de survol en hélicoptère de différentes zones, les recherches vont désormais se concentrer au sol avec également l'utilisation de drone. Ce jeudi, elles ont été menées à nouveau du côté du Morne Langevin. Une vingtaine d’hommes du PGHM, les gendarmes du GMG (Groupe Montagne Gendarmerie) et de la brigade de Saint-Pierre ont ratissé le secteur escarpé à la végétation dense.
Un point des recherches doit être effectué ce soir en présence notamment du directeur de l’enquête et des personnels engagés sur place.