
Photo d'illustration
Ce matin, les équipes de Solidaires Finances Publiques sont allées à la rencontre des contribuables à Saint-Denis, Saint-Paul et Saint-Pierre. Une action "pédagogique" envers les contribuables qui se rendent quotidiennement dans les services des finances publiques (voir ici).
Bien que l'affluence était importante à Saint-Denis, les contribuables ont pu faire la queue et être reçus. Mais il fallait se montrer patient. En revanche, la musique a été différente à Saint-Paul, au grand dam du syndicat Solidaires présent sur place.
A peine le rideau du centre des impôts ouvert à 8 heures que, 15 minutes plus tard, le responsable du centre a dû fermer. "Sans autre forme de communication pour les personnes qui attendaient sur place", explique Eric Métro, secrétaire départemental de Solidaires. Seule une centaine de personnes sur les 200 qui attendaient ont été reçue le matin. Les autres ont dû patienter jusqu'en début d'après-midi. "C'est compliqué pour les contribuables qui viennent des écarts. Certaines personnes étaient en colère faute d'avoir pu être reçues alors qu'elles venaient pour la deuxième ou troisième fois", poursuit-il.
L'affluence est telle que le centre des finances publiques de Saint-Paul est obligé de fermer boutique. Une question de sécurité des usagers et des agents, précise le syndicat Solidaires.
Bien que l'affluence était importante à Saint-Denis, les contribuables ont pu faire la queue et être reçus. Mais il fallait se montrer patient. En revanche, la musique a été différente à Saint-Paul, au grand dam du syndicat Solidaires présent sur place.
A peine le rideau du centre des impôts ouvert à 8 heures que, 15 minutes plus tard, le responsable du centre a dû fermer. "Sans autre forme de communication pour les personnes qui attendaient sur place", explique Eric Métro, secrétaire départemental de Solidaires. Seule une centaine de personnes sur les 200 qui attendaient ont été reçue le matin. Les autres ont dû patienter jusqu'en début d'après-midi. "C'est compliqué pour les contribuables qui viennent des écarts. Certaines personnes étaient en colère faute d'avoir pu être reçues alors qu'elles venaient pour la deuxième ou troisième fois", poursuit-il.
L'affluence est telle que le centre des finances publiques de Saint-Paul est obligé de fermer boutique. Une question de sécurité des usagers et des agents, précise le syndicat Solidaires.