Léger frémissement à La Possession. Après quatre ans de mise en sourdine, le PLR s’affiche de nouveau, et avec de nouveaux visages.
La nouvelle équipe concède facilement que les militants ont pu être déboussolés au sortir de l’élection de 2014, qui a vu des colistiers du PLR aller sur la liste Miranville durant un entre-deux tours mémorable, durant lequel les alliances de circonstances avaient opéré comme par magie. Et toutes les écuries y avaient eu droit.
Il faudra désormais compter sur Vincent Rivière, Vincent Rébéca et Roland Ample Mouniama, l’ancien adjoint aux affaires scolaires de Roland Robert, pour porter les couleurs du PLR. Le trio en appelle au rassemblement des forces de progrès en vue des municipales. Il confirme également des discussions menées avec les représentants de ces partis, y compris Philippe Robert. Il est encore tôt pour présager d’un front uni, mais Vincent Rivière croit en tout cas au fait que l’on se dirige vers un tout sauf Miranville en 2020.
Un "examen de conscience"
Les membres PLR listent la souffrance du personnel communal, des turnover des DGS, une organisation administrative constamment remise en question, des délibérations municipales à revoter, une démocratie participative en panne, des mairies annexes fermées et des maisons de quartier sans vie, comme autant de preuves d’une gestion défectueuse. Je dirai même que le maire a disparu. On ne l’a voit plus, s’exclame Vincent Rivière. Les opposants hors conseil municipal demandent à Vanessa Miranville un "examen de conscience de la situation actuelle".
Ils pointent également du doigt la gestion du CCAS, dont le budget est englouti à 90% par les dépenses de fonctionnement. Autrement dit, l’action sociale menée envers les nécessiteux demeure ultra réduite. Pour La Réunion attend aussi du maire qu’elle fasse la lumière sur des embauches familiales soulevées par les syndicats en février dernier. Si ce n’est pas vrai, qu’elle porte plainte pour diffamation, en appelle Vincent Rivière.
La nouvelle équipe concède facilement que les militants ont pu être déboussolés au sortir de l’élection de 2014, qui a vu des colistiers du PLR aller sur la liste Miranville durant un entre-deux tours mémorable, durant lequel les alliances de circonstances avaient opéré comme par magie. Et toutes les écuries y avaient eu droit.
Il faudra désormais compter sur Vincent Rivière, Vincent Rébéca et Roland Ample Mouniama, l’ancien adjoint aux affaires scolaires de Roland Robert, pour porter les couleurs du PLR. Le trio en appelle au rassemblement des forces de progrès en vue des municipales. Il confirme également des discussions menées avec les représentants de ces partis, y compris Philippe Robert. Il est encore tôt pour présager d’un front uni, mais Vincent Rivière croit en tout cas au fait que l’on se dirige vers un tout sauf Miranville en 2020.
Un "examen de conscience"
Les membres PLR listent la souffrance du personnel communal, des turnover des DGS, une organisation administrative constamment remise en question, des délibérations municipales à revoter, une démocratie participative en panne, des mairies annexes fermées et des maisons de quartier sans vie, comme autant de preuves d’une gestion défectueuse. Je dirai même que le maire a disparu. On ne l’a voit plus, s’exclame Vincent Rivière. Les opposants hors conseil municipal demandent à Vanessa Miranville un "examen de conscience de la situation actuelle".
Ils pointent également du doigt la gestion du CCAS, dont le budget est englouti à 90% par les dépenses de fonctionnement. Autrement dit, l’action sociale menée envers les nécessiteux demeure ultra réduite. Pour La Réunion attend aussi du maire qu’elle fasse la lumière sur des embauches familiales soulevées par les syndicats en février dernier. Si ce n’est pas vrai, qu’elle porte plainte pour diffamation, en appelle Vincent Rivière.