Nous avons relaté les conditions dans lesquelles Oumar Ndiaye, le réalisateur camerounais qui a participé il y a une dizaine de jours au Festival du film d'Afrique et des Iles au Port, avait été arrêté à bord d'un avion au départ d'Orly, parce qu'il prenait la défense d'un jeune compatriote en train de se faire expulser avec une brutalité qu'il jugeait exagérée (cliquer ici pour lire l'article ).
Ayant lu notre article, il nous a adressé un mail pour nous tenir au courant de l'évolution de l'affaire : "On nous a jugé finalement tous les trois (l'expulsé, le Français Christophe et moi) le mercredi et finalement Boubacar Diallo (l'expulsé) a été relaxé et il est maintenant au Portugal", pays dans lequel il avait une autorisation de séjour. "Mais pour moi et le Français, l'aventure continue car on retourne au tribunal le 04 novembre pour le procès. Ce qui me dérange, c'est que je dois revenir à Paris à mes propres frais (visa, billet d'avion, frais d'hôtel et honoraires d'avocats)".
Et même si sa pudeur le lui interdit, à demi mots, Oumar Ndiaye lance un appel à la solidarité afin qu'on l'aide à faire face à ces dépenses imprévues et malgré tout obligatoires.
Ayant lu notre article, il nous a adressé un mail pour nous tenir au courant de l'évolution de l'affaire : "On nous a jugé finalement tous les trois (l'expulsé, le Français Christophe et moi) le mercredi et finalement Boubacar Diallo (l'expulsé) a été relaxé et il est maintenant au Portugal", pays dans lequel il avait une autorisation de séjour. "Mais pour moi et le Français, l'aventure continue car on retourne au tribunal le 04 novembre pour le procès. Ce qui me dérange, c'est que je dois revenir à Paris à mes propres frais (visa, billet d'avion, frais d'hôtel et honoraires d'avocats)".
Et même si sa pudeur le lui interdit, à demi mots, Oumar Ndiaye lance un appel à la solidarité afin qu'on l'aide à faire face à ces dépenses imprévues et malgré tout obligatoires.