
Le communiqué :
Annoncé depuis juillet, programmé en septembre, puis octobre, puis novembre, c’est finalement en décembre que c’est concrétisé ce grand « Oudinot de la vie chère » ou « Oudinot du pouvoir d’achat ».
Les Réunionnaises et les Réunionnais auraient pu en attendre beaucoup. Mais cela fait des années que leur confiance dans le gouvernement Macron I ou Macron II s’est émoussée. Ils savaient que cela n’allait être encore que de belles paroles et de petits gestes. Ils avaient raison : les propositions concrètes du ministre délégué aux outre-mer sont minimes.
Annoncé depuis juillet, programmé en septembre, puis octobre, puis novembre, c’est finalement en décembre que c’est concrétisé ce grand « Oudinot de la vie chère » ou « Oudinot du pouvoir d’achat ».
Les Réunionnaises et les Réunionnais auraient pu en attendre beaucoup. Mais cela fait des années que leur confiance dans le gouvernement Macron I ou Macron II s’est émoussée. Ils savaient que cela n’allait être encore que de belles paroles et de petits gestes. Ils avaient raison : les propositions concrètes du ministre délégué aux outre-mer sont minimes.
Et surtout ne correspondent pas aux engagements et aux propos précédemment tenus. Premier exemple : l’intégration des services dans le BQP (bouclier, qualité, prix). Rien, pas une seule ligne dans le BQP+. A part ce petit signe + : quels sont les produits nouvellement intégrés ? Il n’y en a pas.
Deuxième exemple : le coût des colis postaux : Comment le ministre peut-il se féliciter de quelque chose qu’il n’a pas fait ? Car c’est un amendement parlementaire qui a posé le montant de la franchise à 400 euros. C’était dans le projet de loi de finances que les députés auraient dû discuter ce jeudi, s’il n’y avait pas eu à nouveau un 49.3.
On aurait pu ainsi continuer la liste… tant il y a un abîme entre les déclarations et les réalisations. Finalement, il n’y aura pas de baisse des prix. Il n’y aura pas non plus de hausse des salaires et des minima sociaux. Les Réunionnaises et les Réunionnais continueront à payer le prix fort. Et comme ils et elles l’ont toujours fait, ils continueront à se mobiliser contre le coût de la vie dans leur île.
Deuxième exemple : le coût des colis postaux : Comment le ministre peut-il se féliciter de quelque chose qu’il n’a pas fait ? Car c’est un amendement parlementaire qui a posé le montant de la franchise à 400 euros. C’était dans le projet de loi de finances que les députés auraient dû discuter ce jeudi, s’il n’y avait pas eu à nouveau un 49.3.
On aurait pu ainsi continuer la liste… tant il y a un abîme entre les déclarations et les réalisations. Finalement, il n’y aura pas de baisse des prix. Il n’y aura pas non plus de hausse des salaires et des minima sociaux. Les Réunionnaises et les Réunionnais continueront à payer le prix fort. Et comme ils et elles l’ont toujours fait, ils continueront à se mobiliser contre le coût de la vie dans leur île.