
Photo : source Al-Andalus
Vendredi soir, le ministre Togolais de l'intérieur a annoncé la libération de trois otages, sur les sept otages enlevés en septembre dernier par Aqmi. La française Françoise Larribe, le malgache Jean-Claude Rakotorilalao et le togolais Alex Awando sont en "bonne santé", selon les autorités françaises.
Les trois otages ont été libérés dans la nuit de jeudi à vendredi sur le territoire nigérien et ont été conduits vers Niamey, capitale du Niger, par les autorités.
Selon plusieurs sources, les otages auraient été libérés contre une rançon, son montant n'a pas été dévoilé pas plus que l'expéditeur. Dans un communiqué, Nicolas Sarkozy a réaffirmé sa "détermination et celle des autorités françaises à ouvrer pour la libération des quatre autres ressortissants toujours détenus au Sahel".
Les otages travaillaient pour Areva et Vinci sur une mine d'uranium à Arlit, leur libération ne s'est pas faite au cours d'une opération militaire et Areva n'a pas souhaité communiqué sur les conditions de libération.
Pour rappel, les sept otages avaient été enlevés le 16 septembre dernier par des membres d'Al Qaïda au Maghreb, Aqmi. Dans ses revendications, Aqmi avait demandé au gouvernement français d'abroger la loi sur l'interdiction du port du voile intégral dans l'espace public français, ainsi que le retrait des troupes militaires françaises en Afghanistan.
Les trois otages ont été libérés dans la nuit de jeudi à vendredi sur le territoire nigérien et ont été conduits vers Niamey, capitale du Niger, par les autorités.
Selon plusieurs sources, les otages auraient été libérés contre une rançon, son montant n'a pas été dévoilé pas plus que l'expéditeur. Dans un communiqué, Nicolas Sarkozy a réaffirmé sa "détermination et celle des autorités françaises à ouvrer pour la libération des quatre autres ressortissants toujours détenus au Sahel".
Les otages travaillaient pour Areva et Vinci sur une mine d'uranium à Arlit, leur libération ne s'est pas faite au cours d'une opération militaire et Areva n'a pas souhaité communiqué sur les conditions de libération.
Pour rappel, les sept otages avaient été enlevés le 16 septembre dernier par des membres d'Al Qaïda au Maghreb, Aqmi. Dans ses revendications, Aqmi avait demandé au gouvernement français d'abroger la loi sur l'interdiction du port du voile intégral dans l'espace public français, ainsi que le retrait des troupes militaires françaises en Afghanistan.