Si Mme la Rectrice ne reconnaît pas la « maltraitance institutionnelle » que nous avons dénoncée pour qualifier la tenue de cette session d’examens, elle a reconnu tous les dysfonctionnements que nous avons relevés ( convocations tardives, correction « dématérialisée », nombre de « copies » en hausse, anonymat non respecté, copies mal scannées, nombre de candidats pour les oraux en hausse…)
Pourtant les services concernés ont fait tout leur possible afin que les examens se déroulent au mieux dans les circonstances actuelles.
Le calendrier de l’année prochaine devrait être revu afin de pallier aux perturbations rencontrées cette année.
Les réponses négatives apportées à nos demandes (meilleure répartition de la charge de travail, augmentation des délais pour les corrections…) ne conviennent pas car elles ne prennent pas en compte la souffrance réelle des collègues.
La seule solution reste, pour nous, le retour à un bac avec épreuves terminales et nationales et la fin de la « dématérialisation » des copies.