
Dès mercredi soir et l’annulation du débat télévisé sur la chaîne publique, le candidat du LPA, Pierrick Robert, avait lancé l'idée d'organiser un débat public devant la mairie de Saint-Louis.
"Force est de constater que ce débat ne pourra pas avoir lieu", regrette Pierrick Robert lors d'une conférence de presse ce jeudi 20 mars. Sur les ondes d'une radio ce jeudi matin, un premier candidat avait décliné l'invitation. S'en sont suivis dans la journée des retours de la même teneur.
Le candidat de La Politique Autrement considère cette prise de position comme "dommageable pour la démocratie et surtout dommageable pour les Saint-Louisiens et Rivièrois qui ne pourront, pour les indécis, faire leur choix sur les programmes de chacun".
Rappelons que ses concurrents ont refusé sa proposition de débattre publiquement sur la place de la mairie en brandissant notamment l'incertitude sur la question de la sécurité des personnes.
"Certains candidats opposés à cette proposition prétendaient que nous cherchions à provoquer un climat de violence entraînant des débordements. Mais jusqu’à présent, la campagne se déroule dans un climat serein et sans heurts. Sans doute parce qu’aujourd’hui la population en a assez de ces guerres de clans qui gangrènent la ville depuis trop longtemps. Sans doute aussi parce que nous, à La Politique Autrement, nous n’avons pas l’habitude de cette politique de gros bras qui cherche en permanence l’affrontement avec le camp adverse. Il faut arrêter de stigmatiser la population Saint-Louisienne !", poursuit le candidat. Lui retient en guise de note positive les réactions de nombreux habitants quant à l'importance qu'ils accordaient à cette confrontation télévisée à... 11 candidats.
A défaut d'un grand débat télévisé au premier tour réunissant les 11 candidats en lice, la population devra donc se contenter d'une confrontation en modèle réduit pour un probable second tour... sauf surprise.
"Force est de constater que ce débat ne pourra pas avoir lieu", regrette Pierrick Robert lors d'une conférence de presse ce jeudi 20 mars. Sur les ondes d'une radio ce jeudi matin, un premier candidat avait décliné l'invitation. S'en sont suivis dans la journée des retours de la même teneur.
Le candidat de La Politique Autrement considère cette prise de position comme "dommageable pour la démocratie et surtout dommageable pour les Saint-Louisiens et Rivièrois qui ne pourront, pour les indécis, faire leur choix sur les programmes de chacun".
Rappelons que ses concurrents ont refusé sa proposition de débattre publiquement sur la place de la mairie en brandissant notamment l'incertitude sur la question de la sécurité des personnes.
"Certains candidats opposés à cette proposition prétendaient que nous cherchions à provoquer un climat de violence entraînant des débordements. Mais jusqu’à présent, la campagne se déroule dans un climat serein et sans heurts. Sans doute parce qu’aujourd’hui la population en a assez de ces guerres de clans qui gangrènent la ville depuis trop longtemps. Sans doute aussi parce que nous, à La Politique Autrement, nous n’avons pas l’habitude de cette politique de gros bras qui cherche en permanence l’affrontement avec le camp adverse. Il faut arrêter de stigmatiser la population Saint-Louisienne !", poursuit le candidat. Lui retient en guise de note positive les réactions de nombreux habitants quant à l'importance qu'ils accordaient à cette confrontation télévisée à... 11 candidats.
A défaut d'un grand débat télévisé au premier tour réunissant les 11 candidats en lice, la population devra donc se contenter d'une confrontation en modèle réduit pour un probable second tour... sauf surprise.