Une visite de travail entre la police nationale et la Ville de Saint-Denis s’est déroulée ce lundi matin, dans les locaux du commissariat Malartic, en présence du maire Gilbert Annette. Une rencontre qui intervient peu après les propos polémiques prononcés par Gilbert Annette lors de son Live dionysien, diffusé sur Facebook.
"C’est un travail de clarification, de présentation de nos actions, et d’approfondissement du partenariat avec les services du maire", explique Jean-François Lebon, commissaire divisionnaire, directeur départemental de la sécurité publique de La Réunion.
"Nous avons rappelé la portée positive de notre action sur les zones de police. Nous aussi avons travaillé sur la police de sécurité du quotidien, pour laquelle le partenariat est un pilier central, ainsi que la communication maîtrisée", poursuit-il. Ce dernier point passe par"la connaissance de la situation, et l’art de pouvoir le dire à nos concitoyens afin qu’ils soient convenablement informés. Si l'information n'est pas maîtrisée, elle peut être anxiogène", glisse-t-il.
La délinquance en baisse de 13% au premier trimestre
"Cette visite va nous permettre d’ajuster nos moyens, pour faire baisser encore davantage la délinquance, en diminution de 13% en ce premier trimestre", indique de son côté Gilbert Annette, qui tient à faire savoir qu'il est "là pour dire tout le bien qu’il pense du travail de la police" et pour la remercier "de la qualité de son travail". Pas question toutefois de parler d'enterrement de la hache de guerre. "Nous travaillons en bonne intelligence. Il faut rapporter les choses à leur juste proportion", déclare-t-il.
L'occasion d'aborder également la problématique du médiateur de la ville interpellé en possession de trois cartouches de pistolet de type magnum. "Nous avons une convention avec une association. Je signe 500 marchés par an, je ne suis pas responsable des salariés des entreprises avec qui je travaille. Chacun regrette cette main tendue à une personne qui ne s’est pas bien conduite. Ce n’est pas la mairie qui a recruté un délinquant", tient-il à préciser.
L. Gilibert sur place
"C’est un travail de clarification, de présentation de nos actions, et d’approfondissement du partenariat avec les services du maire", explique Jean-François Lebon, commissaire divisionnaire, directeur départemental de la sécurité publique de La Réunion.
"Nous avons rappelé la portée positive de notre action sur les zones de police. Nous aussi avons travaillé sur la police de sécurité du quotidien, pour laquelle le partenariat est un pilier central, ainsi que la communication maîtrisée", poursuit-il. Ce dernier point passe par"la connaissance de la situation, et l’art de pouvoir le dire à nos concitoyens afin qu’ils soient convenablement informés. Si l'information n'est pas maîtrisée, elle peut être anxiogène", glisse-t-il.
La délinquance en baisse de 13% au premier trimestre
"Cette visite va nous permettre d’ajuster nos moyens, pour faire baisser encore davantage la délinquance, en diminution de 13% en ce premier trimestre", indique de son côté Gilbert Annette, qui tient à faire savoir qu'il est "là pour dire tout le bien qu’il pense du travail de la police" et pour la remercier "de la qualité de son travail". Pas question toutefois de parler d'enterrement de la hache de guerre. "Nous travaillons en bonne intelligence. Il faut rapporter les choses à leur juste proportion", déclare-t-il.
L'occasion d'aborder également la problématique du médiateur de la ville interpellé en possession de trois cartouches de pistolet de type magnum. "Nous avons une convention avec une association. Je signe 500 marchés par an, je ne suis pas responsable des salariés des entreprises avec qui je travaille. Chacun regrette cette main tendue à une personne qui ne s’est pas bien conduite. Ce n’est pas la mairie qui a recruté un délinquant", tient-il à préciser.
L. Gilibert sur place