
On en sait un peu plus sur la perquisition qui s'est déroulée mardi matin dans le bureau d'un membre du Cabinet de Nassimah Dindar au Conseil général.
D'après nos informations, les enquêteurs ont demandé au suspect s'il avait en sa possession les carnets de chèques de deux associations. Après s'être entendu répondre que non, ils se sont livrés à une perquisition, ce qui leur a permis de découvrir les deux chéquiers.
Les enquêteurs soupçonnent l'homme en question d'avoir créé plusieurs associations, d'avoir placé à leur tête des hommes de paille, d'en être le réel dirigeant et d'utiliser les fonds de ces associations à des fins qu'il appartiendra à l'enquête de déterminer.
Plusieurs points importants restent à résoudre. Si le procureur Auter a déclaré ce matin au Quotidien qu'il n'y avait "aucune intention politique" dans cette affaire, il reviendra malgré tout aux enquêteurs de déterminer à quoi ont bien pu servir les "centaines de milliers d'euros détournés" auxquels il fait allusion.
Leur tache ne devrait pas être très compliquée. Il leur suffira de prendre les talons de chéquiers et de contacter chaque bénéficiaire pour lui demander à quoi correspond la somme qu'il a encaissée. Et il sera alors aisé de savoir s'il s'agit d'un financement politique ou pas.
Déjà, au moment même où le procureur Auter dit qu'il n'y a "aucune intention politique", des convocations sont arrivées aujourd'hui au Conseil général dans le but d'entendre plusieurs agents en qualité de témoins.
Autre point déterminant à vérifier pour les enquêteurs : est-ce que ces associations ont bénéficié ou pas de subventions du Conseil général...
D'après nos informations, les enquêteurs ont demandé au suspect s'il avait en sa possession les carnets de chèques de deux associations. Après s'être entendu répondre que non, ils se sont livrés à une perquisition, ce qui leur a permis de découvrir les deux chéquiers.
Les enquêteurs soupçonnent l'homme en question d'avoir créé plusieurs associations, d'avoir placé à leur tête des hommes de paille, d'en être le réel dirigeant et d'utiliser les fonds de ces associations à des fins qu'il appartiendra à l'enquête de déterminer.
Plusieurs points importants restent à résoudre. Si le procureur Auter a déclaré ce matin au Quotidien qu'il n'y avait "aucune intention politique" dans cette affaire, il reviendra malgré tout aux enquêteurs de déterminer à quoi ont bien pu servir les "centaines de milliers d'euros détournés" auxquels il fait allusion.
Leur tache ne devrait pas être très compliquée. Il leur suffira de prendre les talons de chéquiers et de contacter chaque bénéficiaire pour lui demander à quoi correspond la somme qu'il a encaissée. Et il sera alors aisé de savoir s'il s'agit d'un financement politique ou pas.
Déjà, au moment même où le procureur Auter dit qu'il n'y a "aucune intention politique", des convocations sont arrivées aujourd'hui au Conseil général dans le but d'entendre plusieurs agents en qualité de témoins.
Autre point déterminant à vérifier pour les enquêteurs : est-ce que ces associations ont bénéficié ou pas de subventions du Conseil général...