
1) Le séjour de l'hôtel Bellepierre
Quand il avait découvert notre article sur son séjour séjour de trois jours à l'hôtel Bellepierre, Samuel Mouen avait essayé de nous faire croire que cette information était fausse.
Dans le premier texto qu'il nous envoie le jeudi 1er août à 19h28, il n'hésite pas à tenter un coup de bluff, en affirmant que je raconte n'importe quoi. "Merci gros porc de t'intéresser à ma vie privée par l'intox dont tu es contumier", essaye-t-il...
Je lui réponds aussitôt, à 19h32 : "Info vérifiée auprès de la direction de l'hôtel qui était très embarrassée que je sois au courant mais qui a confirmé"
Ne pouvant plus nier l'évidence, Samuel Mouen m'envoie un second texto à 19h45 : "Je te méprise pd, tu es un bien pauvre provocateur. Par contre, tu ne sais pas à qui tu as à faire cette fois. Tu le paieras lourdement... Gros porc"...
Le dictionnaire d'insultes du représentant auto-désigné des Indignés à la Réunion semble très limité puisqu'à de multiples reprises, il ne variera pas et me traitera de "gros porc" et de "pd"... Il faudrait qu'il pense à enrichir son vocabulaire !
Quand il avait découvert notre article sur son séjour séjour de trois jours à l'hôtel Bellepierre, Samuel Mouen avait essayé de nous faire croire que cette information était fausse.
Dans le premier texto qu'il nous envoie le jeudi 1er août à 19h28, il n'hésite pas à tenter un coup de bluff, en affirmant que je raconte n'importe quoi. "Merci gros porc de t'intéresser à ma vie privée par l'intox dont tu es contumier", essaye-t-il...
Je lui réponds aussitôt, à 19h32 : "Info vérifiée auprès de la direction de l'hôtel qui était très embarrassée que je sois au courant mais qui a confirmé"
Ne pouvant plus nier l'évidence, Samuel Mouen m'envoie un second texto à 19h45 : "Je te méprise pd, tu es un bien pauvre provocateur. Par contre, tu ne sais pas à qui tu as à faire cette fois. Tu le paieras lourdement... Gros porc"...
Le dictionnaire d'insultes du représentant auto-désigné des Indignés à la Réunion semble très limité puisqu'à de multiples reprises, il ne variera pas et me traitera de "gros porc" et de "pd"... Il faudrait qu'il pense à enrichir son vocabulaire !

A 21h07, nouveau texto : "Tu n'es pas intelligent. Tu viens d'entrer au cimetière... Le temps de me rétablir gros porc"...
Attardons nous un instant sur ce dernier texto. Aujourd'hui, Samuel Mouen tente de faire croire que ce n'est pas lui qui a envoyé ces textos. La précision, "le temps de me rétablir", suffit à elle seule à identifier l'auteur des échanges...
Après quelques autres SMS du même accabit, je lui annonce à 21h46 que tous ses textos "seront conservés et transmis à la police avec plainte pour menaces de mort". Et j'ajoute, pour bien lui montrer que j'ai déjà quelques dossiers sur lui, qu'elle "s'ajoutera dans ton dossier à celles de ta femme". Ce qui me vaut une dernière bordée d'injures, à 21h50 : "Fais le vite surtout... Gros porc !!! Tu ne sais pas à qui tu as à faire. PD"... Fin de citation.
Jeudi soir, sur Freedom, Samuel Mouen a reconnu le séjour -il pouvait difficilement faire autrement après la publication des textos dans notre article- mais a tenté de se justifier en demandant à l'animateur (la citation n'est pas parfaitement exacte, mais l'esprit y est) : "Est-ce que, parce que je défends les pauvres, je n'aurais pas le droit de descendre dans un palace, fut-il 4 étoiles?"
En fait, la question n'était pas la bonne. L'animateur de Freedom aurait dû lui demander comment quelqu'un qui n'a officiellement aucun revenu a pu se payer un tel hôtel? Et quels subterfuges a-t-il utilisés pour convaincre son gentil donateur de lui offrir ces trois nuits... Nous avons bien sûr tous les détails, tant en ce qui concerne un avocat de ses amis qu'il a abusé que le généreux donateur. Et là aussi, s'il le souhaite, nous sommes prêts à les publier...
Attardons nous un instant sur ce dernier texto. Aujourd'hui, Samuel Mouen tente de faire croire que ce n'est pas lui qui a envoyé ces textos. La précision, "le temps de me rétablir", suffit à elle seule à identifier l'auteur des échanges...
Après quelques autres SMS du même accabit, je lui annonce à 21h46 que tous ses textos "seront conservés et transmis à la police avec plainte pour menaces de mort". Et j'ajoute, pour bien lui montrer que j'ai déjà quelques dossiers sur lui, qu'elle "s'ajoutera dans ton dossier à celles de ta femme". Ce qui me vaut une dernière bordée d'injures, à 21h50 : "Fais le vite surtout... Gros porc !!! Tu ne sais pas à qui tu as à faire. PD"... Fin de citation.
Jeudi soir, sur Freedom, Samuel Mouen a reconnu le séjour -il pouvait difficilement faire autrement après la publication des textos dans notre article- mais a tenté de se justifier en demandant à l'animateur (la citation n'est pas parfaitement exacte, mais l'esprit y est) : "Est-ce que, parce que je défends les pauvres, je n'aurais pas le droit de descendre dans un palace, fut-il 4 étoiles?"
En fait, la question n'était pas la bonne. L'animateur de Freedom aurait dû lui demander comment quelqu'un qui n'a officiellement aucun revenu a pu se payer un tel hôtel? Et quels subterfuges a-t-il utilisés pour convaincre son gentil donateur de lui offrir ces trois nuits... Nous avons bien sûr tous les détails, tant en ce qui concerne un avocat de ses amis qu'il a abusé que le généreux donateur. Et là aussi, s'il le souhaite, nous sommes prêts à les publier...

Pour tenter d'échaper aux foudres de la justice à la suite de notre dépôt de plainte pour menaces de mort, Samuel Mouen a affirmé jeudi soir sur les ondes de la radio, que ce n'était pas lui qui avait envoyé ces textos. Selon lui, ce téléphone ne serait pas le sien. Il s'agirait d'une sorte de "téléphone public" dont tout le monde se servirait.
Après son goût pour les menaces, Samuel Mouen vient de révéler son véritable visage, celui d'un menteur. Et de quelqu'un qui n'a pas le courage d'assumer ses actes.
Nous avons malheureusement pour lui deux preuves que ce téléphone est bien le sien.
Tout d'abord, ce n'est pas la première fois que nous échangions par téléphone, avec Samuel Mouen en personne à l'autre bout du fil, ou par textos, sur ce numéro, comme le prouve la capture d'écran ci-dessous. Mais surtout, c'est ce même téléphone qu'a utilisé Samuel Mouen pour menacer à plusieurs reprises son ex-compagne, en laissant cette fois une preuve irréfutable puisqu'un de ces messages, restranscrit sur procès-verbal par un policier, n'était pas un texto mais un enregistrement vocal laissé sur la messagerie. Et que la voix typique de Samuel Mouen y était parfaitement reconnaissable (voir plus bas, dans la partie consacrée aux plaintes de son ex-compagne).
Après son goût pour les menaces, Samuel Mouen vient de révéler son véritable visage, celui d'un menteur. Et de quelqu'un qui n'a pas le courage d'assumer ses actes.
Nous avons malheureusement pour lui deux preuves que ce téléphone est bien le sien.
Tout d'abord, ce n'est pas la première fois que nous échangions par téléphone, avec Samuel Mouen en personne à l'autre bout du fil, ou par textos, sur ce numéro, comme le prouve la capture d'écran ci-dessous. Mais surtout, c'est ce même téléphone qu'a utilisé Samuel Mouen pour menacer à plusieurs reprises son ex-compagne, en laissant cette fois une preuve irréfutable puisqu'un de ces messages, restranscrit sur procès-verbal par un policier, n'était pas un texto mais un enregistrement vocal laissé sur la messagerie. Et que la voix typique de Samuel Mouen y était parfaitement reconnaissable (voir plus bas, dans la partie consacrée aux plaintes de son ex-compagne).

2) La théorie de la conspiration...
Mais ce n'était pas suffisant. Il lui fallait bien trouver une explication plus globale. Pourquoi diable m'en serais-je pris à lui? Pour répondre à cette question, il a essayé de faire croire à un complot, une "conspiration" dont je serais l'auteur et dont le but serait de le sortir du jeu politique.
Quel pourrait être mon intérêt? Selon lui, mon fils travaillant comme attaché parlementaire d'Ericka Bareigts, je serais l'instrument de Gilbert Annette, du préfet, du gouvernement pour l'éliminer politiquement. Rien que ça ! Il a oublié au passage la CIA, le FBI, la NSA, l'ex-KGB russe et pourquoi pas le Mossad israélien... C'en est juste risible, mais ça vaudra à Samuel Mouen une nouvelle plainte, pour diffamation celle là...
Mais ce n'était pas suffisant. Il lui fallait bien trouver une explication plus globale. Pourquoi diable m'en serais-je pris à lui? Pour répondre à cette question, il a essayé de faire croire à un complot, une "conspiration" dont je serais l'auteur et dont le but serait de le sortir du jeu politique.
Quel pourrait être mon intérêt? Selon lui, mon fils travaillant comme attaché parlementaire d'Ericka Bareigts, je serais l'instrument de Gilbert Annette, du préfet, du gouvernement pour l'éliminer politiquement. Rien que ça ! Il a oublié au passage la CIA, le FBI, la NSA, l'ex-KGB russe et pourquoi pas le Mossad israélien... C'en est juste risible, mais ça vaudra à Samuel Mouen une nouvelle plainte, pour diffamation celle là...
3) La plainte de son ex-compagne pour violences volontaires sans ITT, menace avec arme et dégradation de véhicule
Ce nuage de fumée a pour unique but d'essayer de faire oublier, ou tout au moins à minimiser, le plus grave: les trois plaintes déposées contre lui par son ex-compagne, pour violences volontaires sans ITT, menace avec arme et dégradation de véhicule, et pour harcèlement téléphonique.
Jeudi soir, Samuel Mouen a tenté d'inscrire ces plaintes dans la "conspiration" dont il affirme être victime, n'hésitant pas à affirmer qu'elles avaient été déposées au lendemain de sa grève de la faim, pour le discréditer et le sortir de la scène politique.
Nouveaux mensonges !
1) Comme le prouve la copie du procès-verbal ci-dessous, la plainte a été déposée le 1er juillet, à 15h23, au commissariat Malartic, pour des faits commis la veille 30 juin. Or Samuel Mouen a commencé sa grève de la faim le... 15 juillet !
Ce nuage de fumée a pour unique but d'essayer de faire oublier, ou tout au moins à minimiser, le plus grave: les trois plaintes déposées contre lui par son ex-compagne, pour violences volontaires sans ITT, menace avec arme et dégradation de véhicule, et pour harcèlement téléphonique.
Jeudi soir, Samuel Mouen a tenté d'inscrire ces plaintes dans la "conspiration" dont il affirme être victime, n'hésitant pas à affirmer qu'elles avaient été déposées au lendemain de sa grève de la faim, pour le discréditer et le sortir de la scène politique.
Nouveaux mensonges !
1) Comme le prouve la copie du procès-verbal ci-dessous, la plainte a été déposée le 1er juillet, à 15h23, au commissariat Malartic, pour des faits commis la veille 30 juin. Or Samuel Mouen a commencé sa grève de la faim le... 15 juillet !

Le 30 juin, après avoir été menacée de mort, reçu notamment des coups de pied, et vu sa voiture tagguée d'un "Sale pute" à la peinture rouge, l'ex-compagne de Samuel Mouen a appelé la police pour se placer sous sa protection et se faire accompagner chez une proche afin d'y être en sécurité.
Alors que les forces de l'ordre sont encore dans l'appartement, elle reçoit plusieurs appels de Samuel Mouen, toujours à partir du GSM qui selon lui ne lui appartient pas. Excédé, un des policiers finit par décrocher mais l'interlocuteur au bout du fil, courageusement, préfère raccrocher en entendant une voix d'homme. Le policier conseille alors à la femme de couper la sonnerie de son téléphone, pour pouvoir dormir et récupérer un peu.
Au réveil, elle trouvera la trace de plusieurs appels, dont un à 3h35, accompagné d'un message vocal. On y entend distinctement la voix de Samuel Mouen déclarant : "Je regrette pour la voiture. Je voulais te faire subir la même chose que moi. Je suis navré. Demain, tu peux déposer la voiture chez Peugeot, je règlerai la note".
Le policier qui a enregistré sa plainte a retranscrit le message vocal sur procès-verbal, comme l'atteste la copie ci-dessous.
Alors que les forces de l'ordre sont encore dans l'appartement, elle reçoit plusieurs appels de Samuel Mouen, toujours à partir du GSM qui selon lui ne lui appartient pas. Excédé, un des policiers finit par décrocher mais l'interlocuteur au bout du fil, courageusement, préfère raccrocher en entendant une voix d'homme. Le policier conseille alors à la femme de couper la sonnerie de son téléphone, pour pouvoir dormir et récupérer un peu.
Au réveil, elle trouvera la trace de plusieurs appels, dont un à 3h35, accompagné d'un message vocal. On y entend distinctement la voix de Samuel Mouen déclarant : "Je regrette pour la voiture. Je voulais te faire subir la même chose que moi. Je suis navré. Demain, tu peux déposer la voiture chez Peugeot, je règlerai la note".
Le policier qui a enregistré sa plainte a retranscrit le message vocal sur procès-verbal, comme l'atteste la copie ci-dessous.

Ce message vocal est très important car il prouve deux choses :
1) C'est bien Samuel Mouen qui a écrit "Sale pute" sur la voiture de son ex.
2) Ce message vocal provient du même numéro de GSM que celui avec lequel il m'a menacé de mort, ce qui établit avec certitude que c'est bien son téléphone et que c'est bien lui qui est l'auteur des menaces à mon encontre.
A la suite de la plainte du 1er juillet, son ex-compagne a subi -et continue à subir- un véritable harcèlement téléphonique de la part de Samuel Mouen. Ce qui lui a valu deux nouvelles plaintes, dont une le 5 juillet (copie ci-dessous).
1) C'est bien Samuel Mouen qui a écrit "Sale pute" sur la voiture de son ex.
2) Ce message vocal provient du même numéro de GSM que celui avec lequel il m'a menacé de mort, ce qui établit avec certitude que c'est bien son téléphone et que c'est bien lui qui est l'auteur des menaces à mon encontre.
A la suite de la plainte du 1er juillet, son ex-compagne a subi -et continue à subir- un véritable harcèlement téléphonique de la part de Samuel Mouen. Ce qui lui a valu deux nouvelles plaintes, dont une le 5 juillet (copie ci-dessous).
