L’Association pour la valorisation des entreprises commerciales et artisanales, affiche une surprenante sérénité au début d’une journée qui s’avère pourtant décisive pour ses adhérents, et aussi pour La Réunion.
“Nous avons atteint le point de rupture. Nous avons également passé et ce depuis longtemps le stade du diagnostic de la crise. Il est vital pour nos entreprises, l’emploi et l’économie réunionnaise que les pouvoirs publics prennent des décisions rapides et efficaces”, affirme Laurent Boyer, président de l’Aveca.
Mais au sortir hier après-midi d’une rencontre d’avec Roland Robert, président de l’Association des maires de La Réunion, puis hier soir d’une réunion d’avec le directeur de cabinet de la préfecture, Philippe Le Moing-Surzur, l’Aveca a fait l’amer constat que ni les collectivités locales, ni l’Etat, ni personne d'autre n’a de réponses “rapides et efficaces” à la situation économique actuelle.
“Nous allons continuer de nous battre pour nous faire entendre”. Et les adhérents de l’Aveca ne seront pas seuls lors de leur prochaine action. Alors que la délégation conduite par Laurent Boyer était reçue à la préfecture, une assemblée générale de transporteurs et de terrassiers se tenait dans le même temps, à Saint-André.
Tous ces professionnels de l’artisanat, du BTP et du transport ont rendez-vous aujourd’hui dans le Sud. “Nous allons multiplier les rencontres tout au long de la journée. La décision de mettre à exécution notre préavis de grève, sera prise ce soir”, a expliqué hier soir Laurent Boyer devant les grilles de la préfecture.
Cette décision est en fait déjà prise. Certains transporteurs dont leur association ou syndicat est membre de l’intersyndicale, l’avaient annoncée dès lundi soir à l’issue de la réunion à la Chambre de commerce et d’industrie. “Quoi qu’il arrive, il y aura des barrages lundi”.
Cette journée de samedi va donc servir à peaufiner le plan de bataille: choix des sites sur lesquels seront installés les barrages routiers filtrants ou non, les responsables de site, les équipes, la relève, les engins nécessaires, la logistique, la communication…
Le conflit pourrait durer…
“Nous avons atteint le point de rupture. Nous avons également passé et ce depuis longtemps le stade du diagnostic de la crise. Il est vital pour nos entreprises, l’emploi et l’économie réunionnaise que les pouvoirs publics prennent des décisions rapides et efficaces”, affirme Laurent Boyer, président de l’Aveca.
Mais au sortir hier après-midi d’une rencontre d’avec Roland Robert, président de l’Association des maires de La Réunion, puis hier soir d’une réunion d’avec le directeur de cabinet de la préfecture, Philippe Le Moing-Surzur, l’Aveca a fait l’amer constat que ni les collectivités locales, ni l’Etat, ni personne d'autre n’a de réponses “rapides et efficaces” à la situation économique actuelle.
“Nous allons continuer de nous battre pour nous faire entendre”. Et les adhérents de l’Aveca ne seront pas seuls lors de leur prochaine action. Alors que la délégation conduite par Laurent Boyer était reçue à la préfecture, une assemblée générale de transporteurs et de terrassiers se tenait dans le même temps, à Saint-André.
Tous ces professionnels de l’artisanat, du BTP et du transport ont rendez-vous aujourd’hui dans le Sud. “Nous allons multiplier les rencontres tout au long de la journée. La décision de mettre à exécution notre préavis de grève, sera prise ce soir”, a expliqué hier soir Laurent Boyer devant les grilles de la préfecture.
Cette décision est en fait déjà prise. Certains transporteurs dont leur association ou syndicat est membre de l’intersyndicale, l’avaient annoncée dès lundi soir à l’issue de la réunion à la Chambre de commerce et d’industrie. “Quoi qu’il arrive, il y aura des barrages lundi”.
Cette journée de samedi va donc servir à peaufiner le plan de bataille: choix des sites sur lesquels seront installés les barrages routiers filtrants ou non, les responsables de site, les équipes, la relève, les engins nécessaires, la logistique, la communication…
Le conflit pourrait durer…