
Qu’est-ce qui va motiver le retour de la vignette auto ? Le gouvernement se trouve face à un véritable casse-tête : continuer à soutenir l’industrie automobile, renforcer la politique en faveur de l’écologie : une promesse électorale des présidentielles, ou trouver de nouvelles recettes pour l’Etat… Ce n’est pas simple.
La nouvelle vignette automobile est annoncée pour le 1er janvier 2010, ça aussi c’est acquis, car il y a urgence, mais sous quelle forme ?
Instaurée en 1956 par Guy Mollet et supprimée en 2001 par Laurent Fabius, la vignette auto, nouvelle version, pourrait être le prolongement d’une part du bonus malus (éco-patsille) à l’achat, et d’autre part, du malus annuel (plus de 250 g de CO2 par km), applicables également sur les grosses voitures polluantes.
C’est le premier des six groupes de travail mis en place par le président de la République Nicolas Sarkozy, et chargés de réfléchir à différentes thématiques écologiques, qui travaille avec le ministère de l’Economie et des finances.
L’une des propositions à ce jour, serait d’imposer la future vignette aux seuls véhicules neufs achetés à partir du 1er janvier 2010. Cette idée serait inappropriée dans le contexte actuel.
En effet, l’Etat peut-il prendre le risque de casser la dynamique d’un secteur économique important mais fragile, et dans lequel il a injecté plusieurs milliards d’argent public ?
A moins que toutes ces tergiversations ne s’expliquent que par l’actuelle échéance européenne. C’est tout de même l’Europe qui apporte un début de solution au gouvernement français. Mais, cette loi ne va pas plaire aux routiers.
Car, la réforme de la directive Eurovignette du Parlement européen, permet désormais aux états membres “d’intégrer les coûts liés au bruit, à la pollution atmosphérique et aux embouteillages dans le régime de vignette routière appliqué aux poids lourds”, selon le site Développement durable.com.
A quand l’entrée en vigueur de cette loi pour tous les véhicules, surtout la partie liée aux embouteillages ?
La nouvelle vignette automobile est annoncée pour le 1er janvier 2010, ça aussi c’est acquis, car il y a urgence, mais sous quelle forme ?
Instaurée en 1956 par Guy Mollet et supprimée en 2001 par Laurent Fabius, la vignette auto, nouvelle version, pourrait être le prolongement d’une part du bonus malus (éco-patsille) à l’achat, et d’autre part, du malus annuel (plus de 250 g de CO2 par km), applicables également sur les grosses voitures polluantes.
C’est le premier des six groupes de travail mis en place par le président de la République Nicolas Sarkozy, et chargés de réfléchir à différentes thématiques écologiques, qui travaille avec le ministère de l’Economie et des finances.
L’une des propositions à ce jour, serait d’imposer la future vignette aux seuls véhicules neufs achetés à partir du 1er janvier 2010. Cette idée serait inappropriée dans le contexte actuel.
En effet, l’Etat peut-il prendre le risque de casser la dynamique d’un secteur économique important mais fragile, et dans lequel il a injecté plusieurs milliards d’argent public ?
A moins que toutes ces tergiversations ne s’expliquent que par l’actuelle échéance européenne. C’est tout de même l’Europe qui apporte un début de solution au gouvernement français. Mais, cette loi ne va pas plaire aux routiers.
Car, la réforme de la directive Eurovignette du Parlement européen, permet désormais aux états membres “d’intégrer les coûts liés au bruit, à la pollution atmosphérique et aux embouteillages dans le régime de vignette routière appliqué aux poids lourds”, selon le site Développement durable.com.
A quand l’entrée en vigueur de cette loi pour tous les véhicules, surtout la partie liée aux embouteillages ?