
Photo d'archives
Au cours de la réunion entre la Région, représentée par son président Didier Robert, et plusieurs syndicats de transporteurs, dont la FNTR, a également été abordée la problématique de la Nouvelle route du Littoral.
Jean-Bernard Caroupaye a ainsi demandé à "faire travailler en priorirté des sous-traitants locaux dans le cadre des travaux de la nouvelle route du Littoral". Le président de la FNTR a également souligné "ne pas être d'accord avec l'importation de matériaux" et a demandé la mise en place de "nouvelles carrières". "Nous disposons des ressources suffisantes sur notre île pour mener à bien ce projet", a-t-il ajouté.
"Ce serait dommage que la nouvelle route du Littoral se fasse seulement avec des multinationales. La route des Tamarins a été faite avec 167 entreprises locales de sous-traitance", a insisté le syndicaliste, qui a rappelé "l'absence de grands projets à la Réunion depuis 2008".
Cette nouvelle route du Littoral serait donc accueillie comme "une bouffée d'oxygène" pour des transporteurs qui s'estiment "en voie de disparition". De nombreux professionnels ont également interpellé Didier Robert pour lui demander si ce projet verrait un jour le jour.
Le président de la Région en a donc profité pour faire "un point d'étape". "Il ne manque aujourd'hui qu'une procédure qui concerne l'environnement", a-t-il expliqué. La commission nationale de la protection de la nature se réunit le 25 juin pour émettre un avis. "On est dans l'attente de cette décision", a-t-il indiqué aux transporteurs. Une décision qui engendrera la publication de deux arrêtés préfectoraux et un arrêté ministériel. Pour Didier Robert, "il n'y a aucune raison objective" pour que le projet ne se fasse pas. Il a assuré que "la partie financière est totalement bouclée, avec une forte marge de manoeuvre de la Région".
Et le président de la Région de souligné que l'emploi local est une priorité : "Pour nous, la nouvelle route du Littoral est un projet réunionnais qui concerne les entreprises réunionnaises". Il s'est dit favorable à la mise en place d'une cellule de la Haute autorité de la commande publique, qui serait en charge du suivi global du chantier. Pour Didier Robert, donc, à n'en pas douter, les premiers travaux seront lancés vers septembre 2013.
Jean-Bernard Caroupaye a ainsi demandé à "faire travailler en priorirté des sous-traitants locaux dans le cadre des travaux de la nouvelle route du Littoral". Le président de la FNTR a également souligné "ne pas être d'accord avec l'importation de matériaux" et a demandé la mise en place de "nouvelles carrières". "Nous disposons des ressources suffisantes sur notre île pour mener à bien ce projet", a-t-il ajouté.
"Ce serait dommage que la nouvelle route du Littoral se fasse seulement avec des multinationales. La route des Tamarins a été faite avec 167 entreprises locales de sous-traitance", a insisté le syndicaliste, qui a rappelé "l'absence de grands projets à la Réunion depuis 2008".
Cette nouvelle route du Littoral serait donc accueillie comme "une bouffée d'oxygène" pour des transporteurs qui s'estiment "en voie de disparition". De nombreux professionnels ont également interpellé Didier Robert pour lui demander si ce projet verrait un jour le jour.
Le président de la Région en a donc profité pour faire "un point d'étape". "Il ne manque aujourd'hui qu'une procédure qui concerne l'environnement", a-t-il expliqué. La commission nationale de la protection de la nature se réunit le 25 juin pour émettre un avis. "On est dans l'attente de cette décision", a-t-il indiqué aux transporteurs. Une décision qui engendrera la publication de deux arrêtés préfectoraux et un arrêté ministériel. Pour Didier Robert, "il n'y a aucune raison objective" pour que le projet ne se fasse pas. Il a assuré que "la partie financière est totalement bouclée, avec une forte marge de manoeuvre de la Région".
Et le président de la Région de souligné que l'emploi local est une priorité : "Pour nous, la nouvelle route du Littoral est un projet réunionnais qui concerne les entreprises réunionnaises". Il s'est dit favorable à la mise en place d'une cellule de la Haute autorité de la commande publique, qui serait en charge du suivi global du chantier. Pour Didier Robert, donc, à n'en pas douter, les premiers travaux seront lancés vers septembre 2013.