Ecart de folie douce

Du roadster à l'état pur.
Dans les années 70 Opel avait déjà proposé un coupé sport atypique au look ravageur. Année 2000, le constructeur récidive en lançant sur le marché un roadster pur et dur. 4 cylindres, 2 litres 264 chevaux forcément ça va réveiller les ardeurs de certains.
Authenticité reste le maître mot

Même décapotée l'Opel GT garde une certaine allure
Ici pas d'accessoires superflus, du roadster, du vrai. Un moteur, un pont, une boite et une transmission arrière, comme dans le temps avec la Triumph Stag de tonton.
Puissance maîtrisée

Intérieur spartiate pour une conduite cheveux au vent.
La capote (manuelle) n'est pas d'une grande facilité en terme de maniabilité, les sièges ne sont même pas électriques. Le plaisir réside dans le comportement de l'Opel GT qui pousse fort et délivre du bonheur pour peu que l'on prenne le risque de débrancher l'ESP.

Coffre minimaliste.
Pas de coffre non plus et juste deux places, pas trés raisonnable tout cela mais quelle ligne!

Plaque de seuil pour faire plus riche.
Fiche produit : Opel GT, 2,0L, Turbo, 4 cylindres, 264cv, propulsion, radio CD, volant multifonctions, verrouillage et rétroviseurs électriques. Tarification : 39 900 euros, malus éco : 1 600 euros.