Saura-t-on la vérité autour de la disparition de Mathieu Caizergues le 23 juin 2017? L’espoir de lever les zones d’ombres de cette affaire a été relancé, annoncent nos confrères de Midi Libre. En février dernier, le nouveau patron de la section de recherches de Saint-Denis a permis de renvoyer le dossier au Service de renseignements criminels (SRC).
Cette cellule spécialisée a estimé qu’il fallait effectuer de nouvelles recherches à l’aplomb de la falaise sur le site des éboulis, là où les gendarmes disent que Mathieu Caizergues serait tombé. Seul un couloir de cette zone a été exploré par des cordistes engagés par la famille du gendarme disparu.
Toutefois, quelques freins peuvent bloquer cette nouvelle piste. Celle-ci doit faire l’objet d’une demande auprès du juge d’instruction Pierre Jund, qui a récemment refusé la demande d’une nouvelle reconstitution faite par la famille. De plus, les militaires devront recevoir une formation spécifique afin de pouvoir explorer cette zone. Les gendarmes du SRC affirment également suivre d’autres pistes.
Cette cellule spécialisée a estimé qu’il fallait effectuer de nouvelles recherches à l’aplomb de la falaise sur le site des éboulis, là où les gendarmes disent que Mathieu Caizergues serait tombé. Seul un couloir de cette zone a été exploré par des cordistes engagés par la famille du gendarme disparu.
Toutefois, quelques freins peuvent bloquer cette nouvelle piste. Celle-ci doit faire l’objet d’une demande auprès du juge d’instruction Pierre Jund, qui a récemment refusé la demande d’une nouvelle reconstitution faite par la famille. De plus, les militaires devront recevoir une formation spécifique afin de pouvoir explorer cette zone. Les gendarmes du SRC affirment également suivre d’autres pistes.