![[Notes de lecture] Le combat de Rocaya contre son cancer : Une formidable leçon de vie, de courage… de rigolade ! [Notes de lecture] Le combat de Rocaya contre son cancer : Une formidable leçon de vie, de courage… de rigolade !](https://www.zinfos974.com/photo/art/default/39123043-33811314.jpg?v=1572956726)
S’il y en a une qui empoigne la vie à bras-le-corps, c’est bien elle !
Malgré les épreuves, terribles, qu’elle a dû traverser, elle n’a rien perdu de cette gaieté bouillonnante qui semble lui coller à la peau. Nous avons été nombreux à le constater lors du dernier Salon Athéna à Saint-Pierre où Rocaya semblait accueillir chaque nouveau venu comme s’il s’agissait de son meilleur ami. La fougueuse animatrice présentait, une fois encore, le livre dans lequel elle raconte, sans fards, la lourde bataille qu’elle a dû mener contre un méchant cancer du sein qui a bien chamboulé sa vie, sociale autant que familiale.
Deux ans auparavant, je n’avais pu l’acquérir ; je n’allais pas louper l’occasion une fois encore. Ce qui l’a grandement surprise au demeurant, ce fut que je lui demandai un autographe. Elle i voit à mwin comment don ?
"Cancer… Chimio… Champagne" se lit d’une traite. Ce que j’ai fait sitôt rentré dans ma case. L’ouvrage n’est guère épais mais il a le mérite d’aller droit à l’essentiel : un jour de 2013, on lui décèle une tumeur au sein droit et c’est l’enchaînement irréversible et incontournable. Analyses, contre-analyses, prélèvements, ablation, chimiothérapie, radiothérapie, plus quelques autres épisodes guère moins saumâtres.
Rocaya avoue qu’elle ne savait pas comment écrire ce récit, ; elle a donc pris des leçons, suivi des ateliers d’écriture, avant de tout mettre sur la page. Les douleurs, les traitements affligeants, mais aussi la farouche volonté de batailler contre ce foutu "crabe" la rongeant de l’intérieur, pour sa famille, son fils, son époux, qui ont tous été en permanence à ses côtés. Comme aussi pour ses amis, qui n’ont cessé de l’entourer…
Au lieu de geindre et gémir, de se lamenter, de pleurer sur elle-même, elle a choisi malgré les immenses douleurs, de prendre le crabe par les pinces avec une belle dose de rigolade en prime !
Je vous invite à découvrir les grosses parties de rires et d’apéros, dans une clinique du Port où ses amis, venus lui tenir la main, se voyaient coller dans la leur (de main) un verre de champagne…
Plus tard, une fois le mal terrassé, vint le temps de la reconstruction physique. Le temps de s’adapter également à d’inévitables transformations internes… car le cancer, même vaincu, se rappelle au bon souvenir de celles qui en souffrent… en modifiant très sensiblement l’intimité.
Rocaya sait nous parler avec simplicité et humour de son entourage. Elle pourrait se vanter d’avoir au nombre de ses amis un très grand tennisman français. Non ! Elle le narre simplement, sans falbalas et on apprécie.
Ce petit livre est une formidable leçon de courage, d’abnégation, d’amour, de volonté inébranlable : "Il y a toujours quelque chose à faire", pourrait-on le résumer.
C’était ce que disait aussi le commandant Warden à la fin d’un célèbre "Pont…".
Toujours quelque chose, oui, mais pas tout seul, pas dans les simagrées, encore moins dans la désespérance. Car l’humour et l’ironie sont ce qui nous en préservent le mieux.
Bravo ma fille ! Et salutations sincères aux deux hommes de ta vie.
Malgré les épreuves, terribles, qu’elle a dû traverser, elle n’a rien perdu de cette gaieté bouillonnante qui semble lui coller à la peau. Nous avons été nombreux à le constater lors du dernier Salon Athéna à Saint-Pierre où Rocaya semblait accueillir chaque nouveau venu comme s’il s’agissait de son meilleur ami. La fougueuse animatrice présentait, une fois encore, le livre dans lequel elle raconte, sans fards, la lourde bataille qu’elle a dû mener contre un méchant cancer du sein qui a bien chamboulé sa vie, sociale autant que familiale.
Deux ans auparavant, je n’avais pu l’acquérir ; je n’allais pas louper l’occasion une fois encore. Ce qui l’a grandement surprise au demeurant, ce fut que je lui demandai un autographe. Elle i voit à mwin comment don ?
"Cancer… Chimio… Champagne" se lit d’une traite. Ce que j’ai fait sitôt rentré dans ma case. L’ouvrage n’est guère épais mais il a le mérite d’aller droit à l’essentiel : un jour de 2013, on lui décèle une tumeur au sein droit et c’est l’enchaînement irréversible et incontournable. Analyses, contre-analyses, prélèvements, ablation, chimiothérapie, radiothérapie, plus quelques autres épisodes guère moins saumâtres.
Rocaya avoue qu’elle ne savait pas comment écrire ce récit, ; elle a donc pris des leçons, suivi des ateliers d’écriture, avant de tout mettre sur la page. Les douleurs, les traitements affligeants, mais aussi la farouche volonté de batailler contre ce foutu "crabe" la rongeant de l’intérieur, pour sa famille, son fils, son époux, qui ont tous été en permanence à ses côtés. Comme aussi pour ses amis, qui n’ont cessé de l’entourer…
Au lieu de geindre et gémir, de se lamenter, de pleurer sur elle-même, elle a choisi malgré les immenses douleurs, de prendre le crabe par les pinces avec une belle dose de rigolade en prime !
Je vous invite à découvrir les grosses parties de rires et d’apéros, dans une clinique du Port où ses amis, venus lui tenir la main, se voyaient coller dans la leur (de main) un verre de champagne…
Plus tard, une fois le mal terrassé, vint le temps de la reconstruction physique. Le temps de s’adapter également à d’inévitables transformations internes… car le cancer, même vaincu, se rappelle au bon souvenir de celles qui en souffrent… en modifiant très sensiblement l’intimité.
Rocaya sait nous parler avec simplicité et humour de son entourage. Elle pourrait se vanter d’avoir au nombre de ses amis un très grand tennisman français. Non ! Elle le narre simplement, sans falbalas et on apprécie.
Ce petit livre est une formidable leçon de courage, d’abnégation, d’amour, de volonté inébranlable : "Il y a toujours quelque chose à faire", pourrait-on le résumer.
C’était ce que disait aussi le commandant Warden à la fin d’un célèbre "Pont…".
Toujours quelque chose, oui, mais pas tout seul, pas dans les simagrées, encore moins dans la désespérance. Car l’humour et l’ironie sont ce qui nous en préservent le mieux.
Bravo ma fille ! Et salutations sincères aux deux hommes de ta vie.