L’agence des médicaments norvégienne a annoncé l’ouverture d’une enquête après le décès de 13 personnes âgées de plus de 80 ans, suite à la première injection du vaccin anti-Covid. L’agence estime que ces personnes, qui présentaient plusieurs comorbidités, ont pu succomber des effets secondaires du vaccin, telle la fièvre ou des réactions allergiques.
L’Institut norvégien de santé publique a, depuis, recommandé une évaluation approfondie des avantages et inconvénients de la vaccination chez les personnes les plus fragiles ou en fin de vie.
Ce matin, sur RTL, Alain Fischer, coordonnateur de la stratégie vaccinale en France, a tenté de rassurer: « les personnes décédées étaient extrêmement faibles, elles souffraient de comorbidités. Ce sont beaucoup d’éléments qui laissent à penser que le vaccin n’est pas impliqué. »