Après son arrivée à l'aéroport Roland Garros, Nicolas Sarkozy s’est rendu à Saint-André pour une table ronde avec une vingtaine d’agriculteurs de la filière canne.
Nicolas Sarkozy a été accueilli par le maire de Saint-André et vice-président de la Région, Jean-Paul Virapoullé, Didier Robert, président de Région et Michel Fontaine, président des Républicains de La Réunion.
C'est chez l'agriculteur Philippe Dalleau que s'est tenue la table ronde: "On demande des réponses de l'Europe", a-t-il déclaré. La fragilité de la filière canne à La Réunion était en effet le sujet principal. "Le monde agricole est inquiet, a ajouté Jean-Bernard Gonthier, président de la Chambre d'agriculture de La Réunion, il y a un doute qui pèse sur la canne à sucre. On veut avoir une vision à moyen et long terme".
18.300 emplois directs, 23.000 indirects, soit 13% des emplois dans le secteur privé... "La canne n'est pas négociable pour l'avenir de l'île, a affirmé Nicolas Sarkozy. Il n'y a pas beaucoup de secteurs qui permettront de créer autant d'emplois à La Réunion".
L’ancien chef de l’Etat s’est donc engagé à soutenir la demande des 38 millions d’euros d’aides faite par la filière canne locale à Bruxelles pour compenser les effets liés à la fin des quota sucriers en 2017. "C'est le minimum absolu, sinon la filière meurt".
Il a aussi annoncé qu'il souhaitait augmenter les fonds du CIOM (Comité interministériel à l'outre-mer) qu'il avait créé lors de son mandat, les faisant passer de 40 à 80 millions d'euros.
Nicolas Sarkozy a été accueilli par le maire de Saint-André et vice-président de la Région, Jean-Paul Virapoullé, Didier Robert, président de Région et Michel Fontaine, président des Républicains de La Réunion.
C'est chez l'agriculteur Philippe Dalleau que s'est tenue la table ronde: "On demande des réponses de l'Europe", a-t-il déclaré. La fragilité de la filière canne à La Réunion était en effet le sujet principal. "Le monde agricole est inquiet, a ajouté Jean-Bernard Gonthier, président de la Chambre d'agriculture de La Réunion, il y a un doute qui pèse sur la canne à sucre. On veut avoir une vision à moyen et long terme".
18.300 emplois directs, 23.000 indirects, soit 13% des emplois dans le secteur privé... "La canne n'est pas négociable pour l'avenir de l'île, a affirmé Nicolas Sarkozy. Il n'y a pas beaucoup de secteurs qui permettront de créer autant d'emplois à La Réunion".
L’ancien chef de l’Etat s’est donc engagé à soutenir la demande des 38 millions d’euros d’aides faite par la filière canne locale à Bruxelles pour compenser les effets liés à la fin des quota sucriers en 2017. "C'est le minimum absolu, sinon la filière meurt".
Il a aussi annoncé qu'il souhaitait augmenter les fonds du CIOM (Comité interministériel à l'outre-mer) qu'il avait créé lors de son mandat, les faisant passer de 40 à 80 millions d'euros.