
Neuf athlètes ont été suspendus pour dopage à la veille des Jeux Olympiques de Londres.
Parmi eux se trouvaient trois sportifs dont les échantillons donnés aux championnats du monde l’année dernières avaient été testés une seconde fois.
Les autres se sont fait piéger lors de tests rétroactifs sur les échantillons des mêmes championnats, à Daegu en Corée du Sud.
Huit athlètes ont reçu des suspensions de deux ans. Le dernier a été suspendu pour une période d’un an.
La Fédération Internationale d’athlétisme a indiqué qu’il s’agissait là de cas de "dopage sophistiqué" avec notamment un cas d’hormone de croissance et deux liés à la testostérone synthétique.
Le Président de la Fédération, Lamine Diack, a déclaré que ces suspensions montrent que les autorités font "tout ce qui est en leur pouvoir pour éradiquer la triche" dans le sport.
Parmi eux se trouvaient trois sportifs dont les échantillons donnés aux championnats du monde l’année dernières avaient été testés une seconde fois.
Les autres se sont fait piéger lors de tests rétroactifs sur les échantillons des mêmes championnats, à Daegu en Corée du Sud.
Huit athlètes ont reçu des suspensions de deux ans. Le dernier a été suspendu pour une période d’un an.
La Fédération Internationale d’athlétisme a indiqué qu’il s’agissait là de cas de "dopage sophistiqué" avec notamment un cas d’hormone de croissance et deux liés à la testostérone synthétique.
Le Président de la Fédération, Lamine Diack, a déclaré que ces suspensions montrent que les autorités font "tout ce qui est en leur pouvoir pour éradiquer la triche" dans le sport.