Ce lundi matin, à la levée de l’alerte rouge, les services de la mairie se sont rendus sur la pointe du Tremblet pour évaluer la situation après le passage du cyclone Emnati.
Les conditions météorologiques dégradées après Batsiraï avaient déjà considérablement abimé le navire. Une brèche qui n’a cessé de s’agrandir a été constatée à bâbord du navire, exposée à la houle. Vendredi, la préfecture a confirmé la présence de deux nappes s’échappant du navire.
Ce lundi matin, à première vue, la situation n’a pas évolué mais le risque de dislocation perdure. Il manque toujours plus de 30 mètres de coque au bateau échoué. L’eau qui s’y engouffre se mélange au fuel. Une pollution qui a entrainé la colère du maire Olivier Rivière. L’édile s’était étonné qu’une telle quantité de fuel s’échappe encore de l’épave.
Ce déversement, a indiqué la préfecture, correspondrait "selon toute vraisemblance à un volume de fuel qui subsistait en fond de cale (dit impompable) et qui s’est déversé par les brèches de la coque. On considère qu’un mètre cube de fuel mélangé à l’eau de mer s’étale sur une surface correspondant à un stade de football".
Le remorqueur Vasileios, doté de moyen de lutte anti-pollution, a ainsi à nouveau été appelé sur zone. "Les équipes de sécurisation et dépollution du navire de Polygreen seront quant à elles sur place et pourront intervenir dès que la météorologie permettra le travail à bord", a également précisé la préfecture vendredi.
Pour les associations écologistes, le mal est fait. "Le plan POLMAR pour POLlutionMARitime a été déclenché seulement le 18 février, treize jours plus tard, malgré les inquiétudes et alertes formulées par la population et les collectifs soucieux de notre environnement", se sont insurgés les militants écologistes des groupes Attac, Extinction Rebellion et Greenpeace.
Durant le week-end, le mazout du Tresta Star était visible au large de Bois Blanc.
Ce lundi matin, les conditions météorologiques ne sont toujours pas au rendez-vous pour permettre la poursuite des opérations de dépollution. Les forces de l’ordre sont sur place également. Pour rappel, l’accès au site du naufrage du Tresta Star est interdit par arrêté municipal.
Les conditions météorologiques dégradées après Batsiraï avaient déjà considérablement abimé le navire. Une brèche qui n’a cessé de s’agrandir a été constatée à bâbord du navire, exposée à la houle. Vendredi, la préfecture a confirmé la présence de deux nappes s’échappant du navire.
Ce lundi matin, à première vue, la situation n’a pas évolué mais le risque de dislocation perdure. Il manque toujours plus de 30 mètres de coque au bateau échoué. L’eau qui s’y engouffre se mélange au fuel. Une pollution qui a entrainé la colère du maire Olivier Rivière. L’édile s’était étonné qu’une telle quantité de fuel s’échappe encore de l’épave.
Ce déversement, a indiqué la préfecture, correspondrait "selon toute vraisemblance à un volume de fuel qui subsistait en fond de cale (dit impompable) et qui s’est déversé par les brèches de la coque. On considère qu’un mètre cube de fuel mélangé à l’eau de mer s’étale sur une surface correspondant à un stade de football".
Le remorqueur Vasileios, doté de moyen de lutte anti-pollution, a ainsi à nouveau été appelé sur zone. "Les équipes de sécurisation et dépollution du navire de Polygreen seront quant à elles sur place et pourront intervenir dès que la météorologie permettra le travail à bord", a également précisé la préfecture vendredi.
Pour les associations écologistes, le mal est fait. "Le plan POLMAR pour POLlutionMARitime a été déclenché seulement le 18 février, treize jours plus tard, malgré les inquiétudes et alertes formulées par la population et les collectifs soucieux de notre environnement", se sont insurgés les militants écologistes des groupes Attac, Extinction Rebellion et Greenpeace.
Durant le week-end, le mazout du Tresta Star était visible au large de Bois Blanc.
Ce lundi matin, les conditions météorologiques ne sont toujours pas au rendez-vous pour permettre la poursuite des opérations de dépollution. Les forces de l’ordre sont sur place également. Pour rappel, l’accès au site du naufrage du Tresta Star est interdit par arrêté municipal.