La conférence de presse tenue cet après-midi par les trois ténors de la Droite et du Centre à la Réunion, Michel Fontaine pour l'UMP, Didier Robert pour Objectif Réunion, et Nassimah Dindar pour la Droite sociale, a au moins eu l'avantage de clarifier les choses à l'approche du deuxième tour des élections départementales de dimanche prochain.
Les trois composantes de "la plate-forme de développement" pour la Réunion sont apparus unis avec comme objectif de faire élire le maximum de candidats se réclamant de leur mouvance dimanche prochain, sur la base d'un programme commun destiné à garantir le développement de l'ile pour les vingt ans à venir.
Ce programme a pour vocation de répondre à la question : quels leviers pour ce développement? Selon Nassimah Dindar, il faudra réaffirmer clairement que c'est le secteur économique qui créée des emplois, et l'aider en conséquence, sans toutefois oublier les contrats aidés qui permettront d'attendre le redémarrage de l'économie. La mobilité des Réunionnais, interne au travers des réseaux de bus et externe grâce à la continuité territoriale, devra également faire partie des priorités. Sans oublier de répondre aux problèmes d'habitat et de logement, de préserver l'environnement indispensable si l'on veut attirer plus de touristes dans l'île et de développer le secteur agro-alimentaire si l'on veut créer des emplois.
Une fois le deuxième tour de dimanche passé, il sera temps de s'intéresser à l'étape suivante avec l'élection de Nassimah Dindar à la présidence du Conseil départemental la semaine prochaine, et celle de Didier Robert à la tête de la pyramide inversée à l'issue des élections régionales de décembre prochain.
Nassimah Dindar et Didier Robert se sont clairement exprimés sur le sujet, sous l'oeil bienveillant de Michel Fontaine. La présidente sortante du Conseil général a même affirmé qu'elle serait "partie prenante à la bataille des Régionales", en vue de faire élire la liste conduite par Didier Robert.
Pour ce faire, ils pouvaient déjà compter sur le soutien de onze maires. Depuis dimanche, ils ont reçu le renfort de Bruno Mamindy-Pajany, le maire de Sainte-Rose. Didier Robert a ensuite laissé entendre que Jean-Paul Virapoullé pourrait rejoindre rapidement cette plate-forme, tandis que Nassimah Dindar affirmait que les négociations n'étaient pas fermées avec André Thien-Ah-Koon. Ce qui porterait à quatorze le nombre de premiers magistrats dans cette alliance de la Droite et du Centre, sur vingt-quatre communes.
Nassimah Dindar devrait pouvoir compter sur une large majorité unie, sur la base des projections effectuées à l'issue du premier tour.
Interrogés sur les velléités de certains, et les regards se sont tournés en direction de Saint-Paul, de faire élire une autre personnalité à la présidence du Palais de la Source en lieu et place de Nassimah Dindar, Didier Robert et Michel Fontaine ont été clairs : un accord a été signé par les onze maires, sous-entendu y compris Joseph Sinimalé, prévoyant l'élection de Nassimah Dindar. Et ce protocole sera respecté à la lettre.
Les trois composantes de "la plate-forme de développement" pour la Réunion sont apparus unis avec comme objectif de faire élire le maximum de candidats se réclamant de leur mouvance dimanche prochain, sur la base d'un programme commun destiné à garantir le développement de l'ile pour les vingt ans à venir.
Ce programme a pour vocation de répondre à la question : quels leviers pour ce développement? Selon Nassimah Dindar, il faudra réaffirmer clairement que c'est le secteur économique qui créée des emplois, et l'aider en conséquence, sans toutefois oublier les contrats aidés qui permettront d'attendre le redémarrage de l'économie. La mobilité des Réunionnais, interne au travers des réseaux de bus et externe grâce à la continuité territoriale, devra également faire partie des priorités. Sans oublier de répondre aux problèmes d'habitat et de logement, de préserver l'environnement indispensable si l'on veut attirer plus de touristes dans l'île et de développer le secteur agro-alimentaire si l'on veut créer des emplois.
Une fois le deuxième tour de dimanche passé, il sera temps de s'intéresser à l'étape suivante avec l'élection de Nassimah Dindar à la présidence du Conseil départemental la semaine prochaine, et celle de Didier Robert à la tête de la pyramide inversée à l'issue des élections régionales de décembre prochain.
Nassimah Dindar et Didier Robert se sont clairement exprimés sur le sujet, sous l'oeil bienveillant de Michel Fontaine. La présidente sortante du Conseil général a même affirmé qu'elle serait "partie prenante à la bataille des Régionales", en vue de faire élire la liste conduite par Didier Robert.
Pour ce faire, ils pouvaient déjà compter sur le soutien de onze maires. Depuis dimanche, ils ont reçu le renfort de Bruno Mamindy-Pajany, le maire de Sainte-Rose. Didier Robert a ensuite laissé entendre que Jean-Paul Virapoullé pourrait rejoindre rapidement cette plate-forme, tandis que Nassimah Dindar affirmait que les négociations n'étaient pas fermées avec André Thien-Ah-Koon. Ce qui porterait à quatorze le nombre de premiers magistrats dans cette alliance de la Droite et du Centre, sur vingt-quatre communes.
Nassimah Dindar devrait pouvoir compter sur une large majorité unie, sur la base des projections effectuées à l'issue du premier tour.
Interrogés sur les velléités de certains, et les regards se sont tournés en direction de Saint-Paul, de faire élire une autre personnalité à la présidence du Palais de la Source en lieu et place de Nassimah Dindar, Didier Robert et Michel Fontaine ont été clairs : un accord a été signé par les onze maires, sous-entendu y compris Joseph Sinimalé, prévoyant l'élection de Nassimah Dindar. Et ce protocole sera respecté à la lettre.