
Durant environ 1 heure, la présidente du Conseil général, Nassimah Dindar, a reçu les ex-salariés de l'ARAST dans l'hémicycle du Département. Les échanges ont été pour le moins houleux.
Nassimah Dindar s'est retranchée derrière des arguments juridiques en expliquant que le Conseil général n'est pas compétent pour réembaucher les employés dans la nouvelle structure, ni même pour les payer. "Je dois protéger juridiquement la collectivité", a précisé la Présidente. Pour elle, "c'est au GIP d'embaucher les salariés" et "à l'AGS de payer les indemnités", précisant que "c'est ainsi que ça se passe en métropole et que La Réunion est encore en France".
De leur côté, les ex-salariés, dans une totale cacophonie, crient leur désespoir à la présidente. "On réclame seulement notre indemnité, pour le reste on verra après. Si vous voulez un drame, il y en aura bientôt un", précise un ex-salarié.
Une fois sortie du Département, la présidente est à nouveau prise à partie par les ex-salariés qui lui réclament leurs indemnités. Dans un véritable dialogue de sourd elle leur répète une nouvelle fois que c'est à l'AGS de les payer.
Une conférence de presse est prévue à 16h, cet après-midi, au cours de laquelle devrait être faite une annonce après avoir consulté ses élus.
Nassimah Dindar s'est retranchée derrière des arguments juridiques en expliquant que le Conseil général n'est pas compétent pour réembaucher les employés dans la nouvelle structure, ni même pour les payer. "Je dois protéger juridiquement la collectivité", a précisé la Présidente. Pour elle, "c'est au GIP d'embaucher les salariés" et "à l'AGS de payer les indemnités", précisant que "c'est ainsi que ça se passe en métropole et que La Réunion est encore en France".
De leur côté, les ex-salariés, dans une totale cacophonie, crient leur désespoir à la présidente. "On réclame seulement notre indemnité, pour le reste on verra après. Si vous voulez un drame, il y en aura bientôt un", précise un ex-salarié.
Une fois sortie du Département, la présidente est à nouveau prise à partie par les ex-salariés qui lui réclament leurs indemnités. Dans un véritable dialogue de sourd elle leur répète une nouvelle fois que c'est à l'AGS de les payer.
Une conférence de presse est prévue à 16h, cet après-midi, au cours de laquelle devrait être faite une annonce après avoir consulté ses élus.
