N’essayez pas de faire dire à Jean-Régis Ramsamy que son quatrième livre, “Nalgon", est porteur d’un message, son humilité l’en défend : “Je n’ai pas la prétention à quoi que ce soit”. Une attitude qui peut surprendre de la part d’un “malbar”, une communauté réputée “vantard” (c'est du second degré au cas où...).
Plus sérieusement, c’est le consul de l’Inde qui a répondu à cette question, lorsqu’il a félicité Jean-Régis Ramsamy pour “ses travaux. Il permet ainsi à la communauté réunionnaise de connaître et de mieux comprendre une partie de son histoire. Cet ouvrage va aussi permettre aux générations futures de perpétuer la tradition du bal tamoul”, a indiqué RS Badwal.
L’éditeur, Christian Vittori (Azalées Edition), a choisi lui de faire un voyage dans le temps jusqu’à l’époque des Dravidiens, et de parler du Cambodge ou le Surinam pour le consul de l’Inde, pour traduire la transmission de la culture et de la tradition en Inde.
Jean-Régis Ramsamy a souvent ramené la discussion à l’objectif premier de son livre. “C’est un état des lieux sur une tradition qui existait à La Réunion et qui existe toujours d’ailleurs, et ce même si cet élément de notre patrimoine est en déperdition”.
“Ce livre a été pour nous l’occasion de retrouver les endroits où avaient et ont toujours lieu le bal tamoul. Ce théâtre chanté portait aussi l’espoir des engagés, qui à l’époque et après leur dur labeur, se regroupaient pour une sensation de liberté et un moment de divertissement”.
“Le bal tamoul leur permettait également de se transcender pour repartir pour une journée de travail et de souffrance”, a rappelé Jean-Régis Ramsamy.
Plus sérieusement, c’est le consul de l’Inde qui a répondu à cette question, lorsqu’il a félicité Jean-Régis Ramsamy pour “ses travaux. Il permet ainsi à la communauté réunionnaise de connaître et de mieux comprendre une partie de son histoire. Cet ouvrage va aussi permettre aux générations futures de perpétuer la tradition du bal tamoul”, a indiqué RS Badwal.
L’éditeur, Christian Vittori (Azalées Edition), a choisi lui de faire un voyage dans le temps jusqu’à l’époque des Dravidiens, et de parler du Cambodge ou le Surinam pour le consul de l’Inde, pour traduire la transmission de la culture et de la tradition en Inde.
Jean-Régis Ramsamy a souvent ramené la discussion à l’objectif premier de son livre. “C’est un état des lieux sur une tradition qui existait à La Réunion et qui existe toujours d’ailleurs, et ce même si cet élément de notre patrimoine est en déperdition”.
“Ce livre a été pour nous l’occasion de retrouver les endroits où avaient et ont toujours lieu le bal tamoul. Ce théâtre chanté portait aussi l’espoir des engagés, qui à l’époque et après leur dur labeur, se regroupaient pour une sensation de liberté et un moment de divertissement”.
“Le bal tamoul leur permettait également de se transcender pour repartir pour une journée de travail et de souffrance”, a rappelé Jean-Régis Ramsamy.