L’Etat prend en charge 35 kms carré de récif corallien et de faune aquatique afin d’optimiser leur protection en participant au budget du GIP Réserve nationale marine à hauteur de 330 000 €. La Région a cotisé elle aussi en cédant 270.000 €. Plusieurs collectivités ont tenu à mettre leur contribution dans cette action de préservation de l’environnement marin, tels que la ville de Saint-leu avec 25.000 €, Trois-Bassins avec 5.000 €. Le TCO et la ville de Saint-Paul ont chacun donné 50.000 €.
L’intérêt de cette mutualisation est la mise en commun des compétences. "Le but est de préserver la réserve naturelle marine pour les générations futures". L’enjeu est aussi d’inclure la conservation de la totalité de la réserve marine.
La participation budgétaire des diverses collectivités permet également la formation et l’embauche de plus d’éco-gardes assermentés, dont le rôle est de veiller au respect de l’environnement marin par les touristes, les baigneurs et les pêcheurs.
Des zones de pêches seront quand même accessible pour la pêche traditionnelle: "Nous ne sommes pas dans une logique de répression, mais plutôt dans une phase de contrôle et de mise en œuvre de la réserve naturelle", assure Philippe Berne.
L’intérêt de cette mutualisation est la mise en commun des compétences. "Le but est de préserver la réserve naturelle marine pour les générations futures". L’enjeu est aussi d’inclure la conservation de la totalité de la réserve marine.
La participation budgétaire des diverses collectivités permet également la formation et l’embauche de plus d’éco-gardes assermentés, dont le rôle est de veiller au respect de l’environnement marin par les touristes, les baigneurs et les pêcheurs.
Des zones de pêches seront quand même accessible pour la pêche traditionnelle: "Nous ne sommes pas dans une logique de répression, mais plutôt dans une phase de contrôle et de mise en œuvre de la réserve naturelle", assure Philippe Berne.