Celui qui se faisait passer pour un Israélien nommé David B., auprès des services de police, et qui utilisait de nombreux alias (fausses identités), avait déjà été interpellé à de nombreuses reprises par le passé et condamné par la justice. Les enquêteurs du commissariat du Centre de Paris ont décidé d'ouvrir une procédure spécifique pour regrouper l'ensemble des vols dont il était soupçonné, avant de le présenter devant la justice selon Actu17.
Il était notamment jugé pour avoir dérobé des bijoux appartenant à une touriste estimés à 70 000 euros dans un hôtel du XIVe arrondissement, le 10 septembre dernier. Il était aussi accusé d'avoir subtilisé le sac à main de la préfète de police des Bouches-du-Rhône, Frédérique Camilleri, le même jour, alors qu'elle était attablée dans un restaurant du VIIe arrondissement. Il avait ensuite utilisé la carte bancaire de la représentante de l'État en mode "sans contact".
Les enquêteurs ont découvert de nombreux objets volés lors de la perquisition de son logement dans le IXe arrondissement, peu après son interpellation. Il y avait notamment un saxophone estimé à 7000 euros et une dizaine de sacs à main, ainsi qu'environ 8600 euros en numéraire.
Nabil B. est également soupçonné du vol d'un ordinateur de l'OTAN lors d'une réunion au Cercle National des Armées (VIIIe), le 15 juillet dernier. Ce vol avait provoqué des tensions diplomatiques sur fond de soupçons d'espionnage, la France étant pointée du doigt. Il sera jugé en mars prochain pour ce vol, qui ajoutera certainement encore plus de temps à sa peine.
Malgré sa longue histoire de vols et sa connaissance des ficelles du système judiciaire, Nabil B. a finalement été pris et condamné à une peine de trois ans de prison. Il est retourné derrière les barreaux et restera en prison jusqu'à ce que sa peine soit purgée.
Il était notamment jugé pour avoir dérobé des bijoux appartenant à une touriste estimés à 70 000 euros dans un hôtel du XIVe arrondissement, le 10 septembre dernier. Il était aussi accusé d'avoir subtilisé le sac à main de la préfète de police des Bouches-du-Rhône, Frédérique Camilleri, le même jour, alors qu'elle était attablée dans un restaurant du VIIe arrondissement. Il avait ensuite utilisé la carte bancaire de la représentante de l'État en mode "sans contact".
Les enquêteurs ont découvert de nombreux objets volés lors de la perquisition de son logement dans le IXe arrondissement, peu après son interpellation. Il y avait notamment un saxophone estimé à 7000 euros et une dizaine de sacs à main, ainsi qu'environ 8600 euros en numéraire.
Nabil B. est également soupçonné du vol d'un ordinateur de l'OTAN lors d'une réunion au Cercle National des Armées (VIIIe), le 15 juillet dernier. Ce vol avait provoqué des tensions diplomatiques sur fond de soupçons d'espionnage, la France étant pointée du doigt. Il sera jugé en mars prochain pour ce vol, qui ajoutera certainement encore plus de temps à sa peine.
Malgré sa longue histoire de vols et sa connaissance des ficelles du système judiciaire, Nabil B. a finalement été pris et condamné à une peine de trois ans de prison. Il est retourné derrière les barreaux et restera en prison jusqu'à ce que sa peine soit purgée.