Le partage du marché du chantier de la Nouvelle Route du Littoral est au cœur d’un nouveau différend.
Cette fois-ci, c’est le groupement GOI / TRANSMAT OI / RUN OI qui monte au créneau. Transporteurs, terrassiers et propriétaires de plateformes d’andains du groupement réclament la fin du monopole du chantier par un autre groupement, la GPOI / SBTPC / VINCI.
Les professionnels du BTP ont été reçus ce matin en préfecture pour exposer leurs doléances et déposer une motion. Selon Michel Allamèle de la GTOI, le groupement "NRL", comme il l'appelle, "dicte sa loi dans l’Est en imposant un seul transporteur, bien connu de la place".
Eux aussi aimeraient pouvoir extraire des andains. Mais au cours d’une réunion le 26 mai dernier au MOCA, où la Région, l’Etat et la DEAL étaient aussi représentés, le groupement GOI / TRANSMAT OI / RUN OI aurait été invité à créer son propre plateforme d’andains pour y être autorisé.
"C’est le cas, assure Michel Allamèle. Nous possédons une plateforme de plus de 500.000 tonnes à Saint-Anne. Or la GTOI campe sur ses positions en désignant un transporteur unique."
Le groupement en grogne attend désormais le prochain comité du groupement NRL qui se tiendra ce jeudi. "Nous voulons des décisions concrètes, annonce Frédéric Angama Petchy de RUN OI. En cas de refus des négociations, ils prévoient de bloquer le chantier.
Cette fois-ci, c’est le groupement GOI / TRANSMAT OI / RUN OI qui monte au créneau. Transporteurs, terrassiers et propriétaires de plateformes d’andains du groupement réclament la fin du monopole du chantier par un autre groupement, la GPOI / SBTPC / VINCI.
Les professionnels du BTP ont été reçus ce matin en préfecture pour exposer leurs doléances et déposer une motion. Selon Michel Allamèle de la GTOI, le groupement "NRL", comme il l'appelle, "dicte sa loi dans l’Est en imposant un seul transporteur, bien connu de la place".
Eux aussi aimeraient pouvoir extraire des andains. Mais au cours d’une réunion le 26 mai dernier au MOCA, où la Région, l’Etat et la DEAL étaient aussi représentés, le groupement GOI / TRANSMAT OI / RUN OI aurait été invité à créer son propre plateforme d’andains pour y être autorisé.
"C’est le cas, assure Michel Allamèle. Nous possédons une plateforme de plus de 500.000 tonnes à Saint-Anne. Or la GTOI campe sur ses positions en désignant un transporteur unique."
Le groupement en grogne attend désormais le prochain comité du groupement NRL qui se tiendra ce jeudi. "Nous voulons des décisions concrètes, annonce Frédéric Angama Petchy de RUN OI. En cas de refus des négociations, ils prévoient de bloquer le chantier.