Pour rappel, Thierry Robert s’était opposé, au mois de novembre dernier, au schéma départemental des carrières qui doivent alimenter le chantier de la NRL, et tout particulièrement à l’exploitation de la carrière de la Ravine du Trou. Estimant que ce plan relève d’une violation du Code de l’environnement, le député-maire saint-leusien a réclamé la modification du schéma départemental, après évaluation sur le terrain, allant ainsi à l'encontre de la validation du Préfet.
Mais Thierry Robert a dû, en novembre 2014, essuyer le refus du tribunal administratif de Saint-Denis. Ce dernier a en effet donné raison à l’Etat et tout simplement rejeté le recours. Un avis que ne partage pas le rapporteur public, d’après Le Quotidien. Celui-ci a en effet exposé de nouveaux arguments qui pourraient redonner du poids au pourvoi de Thierry Robert. Le rapporteur public a en effet plaidé hier en Conseil d’Etat que l’objet du schéma départemental consistait précisément à "anticiper" les conséquences environnementales du chantier de la NRL et qu’on ne peut pas se contenter de "mener une étude ultérieure au commencement des travaux".
La poursuite du chantier de la Nouvelle route du Littoral se trouve donc aujourd’hui suspendue à la décision du Conseil d’Etat qui tranchera sur une éventuelle révision du schéma départemental.
Mais Thierry Robert a dû, en novembre 2014, essuyer le refus du tribunal administratif de Saint-Denis. Ce dernier a en effet donné raison à l’Etat et tout simplement rejeté le recours. Un avis que ne partage pas le rapporteur public, d’après Le Quotidien. Celui-ci a en effet exposé de nouveaux arguments qui pourraient redonner du poids au pourvoi de Thierry Robert. Le rapporteur public a en effet plaidé hier en Conseil d’Etat que l’objet du schéma départemental consistait précisément à "anticiper" les conséquences environnementales du chantier de la NRL et qu’on ne peut pas se contenter de "mener une étude ultérieure au commencement des travaux".
La poursuite du chantier de la Nouvelle route du Littoral se trouve donc aujourd’hui suspendue à la décision du Conseil d’Etat qui tranchera sur une éventuelle révision du schéma départemental.